Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 22:11
L’histoire que je vais vous raconter est parfaitement authentique, elle m’est arrivée au cours de l’été 2005 et se poursuit encore aujourd’hui.
Je me prénomme Véronique, j’ai 46 ans, divorcée et je suis secrétaire de direction en Normandie.
L’été dernier, je m’étais décidé à engager des travaux dans mon appartement, il fallait refaire les linos, les moquettes, les tapisseries, ainsi que le remplacement de la baignoire par une grande douche.
J’ai tout d’abord contacté plusieurs entreprises, mais aucune ne pouvait commencer les travaux avant octobre ce qui me contraria un peu et en discutant avec un collègue, il me donna le numéro de téléphone de quelqu’un qui avait effectué divers travaux chez lui.
Je contactais donc ce monsieur, qui acceptât de venir vérifier si tous ce que je souhaitais faire était bien dans ses cordes et l’on se fixa un rendez pour le lendemain soir vers 18 heures.
Quand il vit les travaux que j’attendais mais surtout dans quel délai j’aurais voulu qu’ils soient effectués, il m’annonçât qu’il faudrait au moins quatre personnes pour pouvoir finir en moins de 10 jours et m’estimât assez grossièrement le nombre d’heures de travail que cela représenterait avec le taux horaire souhaité, en précisant que je les réglerai en chèque emploi service.
Il fit un peu la grimace, mais nous sommes quand même tombé d’accord et il proposa même de m’accompagner pour acheter les différents matériaux dont j’aurai besoin, mais un de mes beaux frères s’était déjà engagé à le faire.
On s’est donc donné rendez vous cinq semaines plus tard, pour qu’ils puissent commencer à mon retour de vacances.
A l’heure et au jours convenu, ils étaient tous au rendez vous et moi bien contente de les voir arriver, après quinze jours passés au bord de la mer, j’étais reposé et détendu et d’excellente humeur.
Je les laissais regarder le chantier à attaquer pendant que je leur préparai un café, ils ne ressemblaient pas trop au type d’hommes que je côtoyais au quotidien, mais ils avaient l’air plutôt sympathiques.
Ils se mirent rapidement au travail et là ce ne fût plus que bruit et poussière tout au long de la journée, je me contentais juste à leur amener des rafraîchissements car il faisait horriblement chaud et je les voyais transpirer sévèrement.
Je fut bien contente de les voir enfin partir le soir, afin de pouvoir retrouver un peu de tranquillité, toutefois rapidement je me suis surprise à ressentir un grand vide après le débordement d’activité de la journée et j’avais bizarrement hâte de les voir revenir.
Je les accueilli donc le lendemain toute pomponnée, et très heureuse de les voir.
Au fil des heures, je commençais progressivement à discuter avec les uns et les autres, pour finir par plaisanter carrément avec eux, j’admets que parfois leurs plaisanteries étaient un peu grasses mais je ne m’en offusquais pas plus que ça.
Et c’est ainsi que ce passa les cinq premier jours des travaux dans la bonne humeur, malgré la chaleur et le désordre.
Au sixième jour, il fallait s’attaquer à la moquette de la chambre, mais pour cela il fallu sortir le lit bien sur mais aussi la commode qui elle est très lourde, ils me demandèrent d’en vider les tiroirs et moi très naïvement je commençais à tout étaler sur le lit et c’est alors que je réalisais que j’étais en train d’exhiber à mes ouvriers toute la lingerie qu’elle contenait.
Je suis devenu toute rouge quand l’un d’eux envoyât, « ça c’est une femme qui a des dessous sexy », il y avait sur le lit des strings fantaisies, des body, deux guêpières et plusieurs porte jarretelle.
Si j’avais pu m’enfoncer à dix mètres sous terre, je l’aurais fait, mais ils sont ensuite tous repartis à leurs taches comme si de rien n’était, mais bien entendu ce fut devenu le premier sujet de plaisanterie.
La journée se terminait enfin, j’allais pouvoir profiter de mon dimanche pour remettre un peu d’ordre et souffler un peu avec juste un bémol, je n’avais plus de baignoire et une douche pas encore en état de fonctionner.
Je fit une chose que je n’aurai jamais fait d’ordinaire, je me suis lavé et je me suis baladé toute nue dans l’appartement pendant toute la soirée en trouvant cela très agréable, il faut dire aussi que la chaleur qui régnait à l’extérieur y était aussi certainement pour quelque chose.
Une chose aussi que je n’avait plus fait depuis un certain temps fut de me caresser dans mon lit, et là j’avais dans la tête la vision de ces quatre hommes qui avaient envahi mon appartement toute la semaine et à qui j’offrais ce spectacle, ce qui me fit jouir comme une folle, c’était irréel mais ça m’excitait de façon démentielle.
Je me suis enfin endormi, mais au réveil quelle ne fut pas ma surprise de voir une grosse auréole sur le drap, je pensais avoir peut être uriné pendant la nuit, mais non, j’avais mouillé et taché mon lit pendant mon sommeil.
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, je n’avais certes pas eu d’homme dans mon lit depuis quelques mois, mais de là à me sentir comme ça carrément en chaleur, ça ne m’était jusqu’alors jamais arrivé.
Je suis resté toute nue comme ça pendant tous le dimanche et j’ai compté m’être masturbé dix sept fois dans la journée, j’avais comme qui dirait vulgairement le feu au cul, moi qui d’ordinaire sans être une oie blanche suis plutôt fleur bleue, j’avais des images obscènes dans la tête.
Le lundi matin alors que la sonnette de l’interphone raisonnait, je me suis habillé à la va vite et consciemment ou pas j’avais enfilé un string noir sur un panta-court blanc transparent et un chemisier rose pale sans soutien gorge.
Quand je leur ai ouvert pour les faire entrer, je les ai vu me scruter de la tête au pied et c’est en me retournant que je réalisais que j’étais en plein dans le contre jour du couloir d’entrée et que si je leur avais ouvert simplement en string, je leur en aurais montré autant.
Alors que j’allais ouvrir la bouche pour leur reprocher de m’avoir laissé sans douche, l’un d’eux me dit : »bon dieu, t’ai sacrément bien roulé ma petite dame » et au lieu de lui retourner la gifle qu’il aurait du mériter, je me suis mise bêtement à lui sourire, laissant de ce fait la porte ouverte à ce allait m’arriver par la suite.
Effectivement, alors qu’ils avaient reprit le travail et que je me promenais d’une pièce à l’autre, je les entendais murmurer des : » tu as vu le beau petit cul qu’elle a, ou, elle a les nichons en liberté, ou encore tu crois qu’elle a envie de se faire sauter » et bien que faisant celle qui n’entendait pas, j’avais l’entre jambe qui se liquéfiait.
Tout dégénéra vers les onze heures trente quand l’un d’eux m’annonça que la douche était terminée et prête à l’emploi et ils me suggérèrent donc de l’essayer.
Je voyais bien où ils voulaient en venir et j’étais partagé entre ma tête qui en refusé absolument l’idée et mon minou qui pleurait d’envie de le faire et bien ce fut la chair qui fut la plus forte, car c’était plus fort que moi, j’avais envie de me faire sauter.
J’ai juste pris une serviette de bain et je me suis déshabillé en laissant la porte ouverte pour rentrer dans la douche afin de ne laisser aucune équivoque sur mes intentions et effectivement il n’y en eu aucune, les quatre hommes se sont postés dans l’entrée de la salle de bain et quand l’un d’eux me proposa de venir me frotter le dos, je lui ouvris directement la porte coulissante.
Et c’est ainsi qu’ils vinrent un par un me prendre debout dans la douche pour mon plus grand bonheur, il n’y avait plus ni pudeur ni convenance, juste un désir bestial qui m’a fait crier de plaisir, chose qui à mon age ne m’était encore jamais arrivé.
La seule chose que j’ai pu contrôler fût le port du préservatif, pour le reste je vous laisse imaginer ce qu’une femelle en chaleur et quatre males en rut peuvent faire pendant tout un après midi.
Je fût prise de partout et dans toutes les positions possibles, car si sous la douche ce fût chacun leur tour, après c’était réellement tous ensemble et je me suis comporté comme la dernière des traînées car ce fût moi qui leur demanda les pires obscénités, je voulais qu’ils me traitent comme une chienne, qu’ils me violent tous les trous, qu’ils m’insultent, je ne savais vraiment plus qui j’étais et ce que je faisais, j’avais perdu tout contrôle de moi même.
Vous donner le détail de tous ce qu’ils m’ont fait j’en serais bien incapable car j’étais ce jour là comme possédé, ivre de sexe, une véritable droguée en manque.
J’ai eu plus d’orgasme en un après midi qu’en une année avec mes différent petits amis, mais à la fin de la journée, je ne ressemblais plus à rien, j’avais du sperme partout, les fesses en marmelade et la mâchoire toute engourdie, je devais faire peine à voir, mais à ce moment là je m’en moquais éperdument.
Quand les ouvriers sont repartis, ils m’ont lancé un : »on remet ça quand tu veux », mais j’étais trop épuisé pour leur répondre quoi que ce soit.
Je suis resté coucher pendant plus de deux heures, à bout force, avant de prendre conscience de ce que venais de faire, c’était toute mon éducation et mes convictions qui avaient volé en éclat en quelques heures et c’est alors que je fût assailli par un grand sentiment de honte.
Je n’en ai pas dormi de la nuit et pourtant j’étais morte de fatigue, l’angoisse du matin et du retour des ouvriers m’obsédait.
Quand l’interphone sonnât, j’hésitais un long moment avant d’ouvrir et quelle ne fût pas ma surprise de les voir arriver avec un énorme bouquet de fleurs.
Ils m’ont simplement souhaité bonjour et m’ont tendu le bouquet tout en me remerciant et en s’excusant pour ce qui s’était passé la veille et que si je souhaitais les renvoyer, ils comprendraient.
Je m’attendais vraiment à tout, mais pas à ça, je m’étais comporté comme une moins que rien et c’était eux qui s’excusaient, je ne savais plus quoi répondre sinon que j’aimerais qu’ils finissent le travail.
Durant la journée, l’ambiance lourde du début se détendit petit à petit et en début d’après midi le sentiment de gêne réciproque s’était presque totalement estompé.
Les deux jours qui ont suivi furent tout à fait normal, j’étais très contente du résultat des travaux et le jeudi soir alors qu’ils allaient partir, je leur proposais de faire un bon repas le lendemain midi, si ils étaient d’accord bien sur et j’eus droit à un grand oui en cœur.
Je suis sorti faire les courses mais n’étant une grande cuisinière, ce fût le rayon des plats préparés qui fit mon bonheur et en sortant je me suis attardé au magasin de lingerie de la galerie marchande ou je me suis acheté un string microscopique.
J’ai passé la soirée à faire l’essayage de ce que j’avais de plus sexy, mais finalement une idée me traversa l’esprit, et si je m’étais juste un tablier de cuisine et le mini string.
Je devais être complètement folle, mais je crevais d’envie de recommencer la séance du mardi et je me disais que c’était sûrement la dernière fois que je pouvais connaître ça.
Quand ils sont arrivés, ils devaient avoir encore deux bonne heures de travail, le temps de tout remettre en ordre et de tout ranger, aussi vers les onze heures, je suis aller dans la chambre pour enfiler le tablier et le string et j’avais pris soin au préalable de me raser intégralement le pubis.
Rien que l’idée de franchir la porte dans cette tenue, me mettait dans un état d’excitation pas possible, je sentais le sang pulser dans mes tempes et le bout de mes tétons durcir, je pris une grande inspiration et je sorti ainsi en souhaitant de tout mon être que tout ce passe bien.
Ce fût le cas, le premier à ouvrir la bouche envoya : »si le repas est à la hauteur de la cuisinière, qu’est ce qu’on se mettre »et un autre de relancer : »si ça c’est pas un beau dessert ».
Je leur servi donc l’apéritif dans cette tenue et alors que sentis une main se poser sur mes fesses, je répliquais : » il faudra attendre le dessert » et ils ont tous éclaté de rire.
Ils ne posèrent qu’une seule condition : »si tu es capable de nous épuiser tous les quatre avant ce soir, ce sera à nous de te faire une surprise », je ne compris pas vraiment mais j’acceptais.
Le repas fût avalé en prés de trente minutes et je me fis une joie de leur envoyer le tablier à la figure et alors que je m’attendais à les voir se ruer sur moi, ils se contentèrent juste de me demander de venir les sucer.
Ce que je fis avec une grande joie, mais dans l’état d’excitation où ils étaient, ils m’eurent tous inondé la bouche en tout juste dix minutes.
Malgré cela je dû me rendre à l’évidence, ils avaient encore de la réserve et mon string se retrouva rapidement suspendu au lustre de la salle pour céder la place à leurs gros sexe bien dur qui retrouvèrent très vite les bonnes directions à prendre.
Là par contre je me rappelle très bien tous ce qu’ils m’ont fait, car je n’étais pas dans le même délire que la première fois et je crois que j’ai encore plus apprécié bien que l’intensité eu été inférieure.
Ils m’ont baisé pendant prés de deux heures, se relayant à la fois dans mon cul, ma chatte ou ma bouche et souvent les trois en même temps, quand je n’en n’avais pas deux qui m’écartelaient les mâchoires.
Mais vers quatre heures, ils ont commencé à donner des signes de faiblesse et malgré mes efforts, je pense qu’ils avaient tout donné.
L’un d’entre eux nous laissa, pendant que les trois autres se firent une joie de m’attacher les poignets aux montants du lit et entreprirent de me caresser et me lécher, ce n’était plus bestial, mais presque tendre et je m’abandonnais délicieusement à toutes ces vagues de chaleur qui me traversaient le ventre.
Quand au bout d’un certain temps, j’entendis discuter dans le hall d’entrée et alors qu’instinctivement je tirais brutalement sur mes poignets, je vis rentrer plusieurs personnes que je ne connaissais pas, dont une espèce de géant qui me fit très peur.
C’est à nous de voir maintenant si on peux t’épuiser, à huit on devrait y arriver, ce chiffre me fis perdre la tête à nouveau et je leur répondis que même à vingt cinq ils tomberaient avant moi, c’était purement de la prétention, mais ils m’ont tout de même prévenu de ne pas trop les tenter car ils connaissaient du monde.
Effectivement à huit c’est déjà beaucoup, surtout avec l’armoire à glace qu’ils avaient ramené et qui été monté comme un âne, il m’a littéralement démonté le cul et à ma demande en plus, car alors qu’il me prenait la chatte, il ressortait régulièrement son engin pour le frotter entre mes fesses, je n’en pouvais et je lui ai demandé s’il fallait que je lui tienne la main pour me la mettre dans le cul.
Malgré le nombre de pénétration que j’avais subit, quand il s’est enfoncé, j’ai bien cru le voir ressortir par le nombril, il y a eu comme un vide d’air dans mes poumons et le sentiment de m’ouvrir en deux.
Essayer d’imaginer moi un mètre cinquante trois, quarante deux kilos, embroché par ce mecs de prés de deux mètres et cent kilo avec un truc entre les jambes qui ferait jaser un acteur de film x.
Il a réussi à se mettre debout en me gardant toujours enfilé, j’avais les pieds dans le vide, pour que les autres puissent me baiser aussi et c’est à ce moment que j’ai recommencer à débiter des horreurs, je disais n’importe quoi, mais ceci eu le mérite de les voir s’acharner sur moi comme des morts de faim et là de nouveau black out dans la tête.
Le soir quand ils sont tous partis, j’ai mis à la poubelle trente sept préservatifs usagés, je marchais comme si j’avais fait une randonnée à cheval pendant un mois, j’avais la chatte qui me brûlait et peut être que vous allez me trouver cinglée, mais j’ai adoré.
Il m’a presque fallu une semaine pour totalement récupérer et retrouvé ma petite vie habituelle, mais je ne regrettais rien et bien que le mois suivant je me suis mise à ressortir avec un de mes ex, je trouvais d’un fade au point de simuler quand il me faisait l’amour, je me voyais assez lui demander de me défoncer le cul ou de me ravager le ventre, il m’aurais prise pour une folle, dans mon cercle de connaissance ce sont des choses qui ne se disent ni ne se font.
Quand arriva la fin octobre, j’étais triste et déprimé, sans goût à grand-chose, j’avais vécu quelque chose de tellement intense et qui bien que loin de correspondre au comportement normal d’une femme, me manquait tout simplement.
Il me fallu encore deux autres semaines avant d’enfin oser rappeler l’homme à l’origine des travaux, pour savoir s’il serait d’accord pour m’organiser une autre surprise.
Il accepta mais pas chez moi car en ce moment ils travaillaient tous trop loin, par contre si moi j’acceptait de me déplacer, on pourrait se fixer un rendez vous dans la semaine, ce que j’acceptai.

Mais je vous raconterai la suite une autre fois.
Par Amarylia - Publié dans : Histoires de sexe
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Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 22:00
J'aurai pu être une femme comme les autres. J'ai été une petite fille tranquille, une adolescente peu tentée par les garçons, une épouse consciencieuse mais sans plus. Après mon divorce, j'ai continué une vie morne et sans intérêt.

J'étais secrétaire de direction et mon directeur me laissait organiser mon travail à ma guise. Mes sorties consistaient à aller au restaurant et au théâtre avec des amies de travail. La vie me pesait par sa routine. Chaque fois qu'on parlait de ça, elles s'étonnaient que j'ai si peu de désir pour le sexe.

Oui, je n'avais pas de désir. Peut-être parce que j'avais été une rêveuse pendant que mes copines couraient après les garçons, parce que mon mariage ne m'avait apporté aucun plaisir de ce côté-là.

C'est pour ça que nous avons divorcé. Mon mari s'efforçait de me prendre aussi souvent que possible et moi je me soumettais à son plaisir, n'ayant jamais envie de lui demander de le faire, n'ayant aucun désir de le faire. Le voir s'agiter sur moi, devoir me laver ensuite. Peut-être qu'un enfant aurait pu changer tout ça mais mon mari se contentait de dire que nous avions le temps de le faire, que nos carrières nous importaient plus.

On s'est alors séparés comme on s'était mariés. Je l'avais vu, sans plus, lors de réunions puis un jour il est venu vers moi alors que j'étais seule dans mon coin et il m'a proposé de m'épouser. J'ai tout de suite cru que ça y était.

Il fallait bien que je le fasse. J'avais 24 ans et toutes mes amies d'enfance étaient mariées ou étaient gouines. Oui, et je trouvais ça curieux que sur six, deux soient lesbiennes. J'aurai dû le savoir ou le comprendre parce que je les avais vu quelquefois se bécoter à pleine bouche et je m'étais dit que c'était dégoûtant que des filles... mais c'étaient mes amies tout de même. Les autres faisaient des enfants et l'une d'elles mettait les bouchées doubles. Mariée à dix-sept ans parce qu'enceinte, elle en était à six!

Mais quand nous en trouvions le moyen nous étions heureuses de nous retrouver, toujours toutes seules, sans nos compagnons ou compagnes.

C'était une belle fête. Sur les cinq heures du matin nous nous étions retirés de la fête et mon mari pour la première fois allait me faire l'amour. J'étais vierge ou presque parce qu'à force d'entendre mes amies parler de leurs amours et de leurs expériences, un jour, je m'étais enfoncée le manche de ma brosse à cheveux. Ça avait été pénible puis agréable de le sentir au fond de mon ventre mais je me suis demandé quel plaisir on pouvait avoir à faire ça. Je m'étais aussi caressée mais je n'en avais jamais eu que de l'irritation. Aujourd'hui je dirais que je n'avais pas été assez patiente pour attendre que ça vienne.

Nous nous étions déshabillés puis mon mari m'avait fait allonger sur le lit et il s'était couché sur moi et m'avait pénétrée. Je ne saurai jamais s'il avait de l'expérience. En tout cas, c'était toujours la même chose, lui sur moi qui s'agitait jusqu'à ce qu'il m'abandonne son sperme. La nuit de mes noces j'étais restée sans bouger, m'étais endormie en pensant qu'à l'aube je serais enceinte de ses ouvres.

Jusqu'à dix-huit ans j'avais été une gamine fluette, mince, sans poitrine et sans charme aucun. Puis, à la suite d'une maladie qui me cloua au lit pendant trois mois, ma poitrine se mit à pousser, pousser sans cesse. Monstrueuse même sur un torse si étroit, avec des aréoles immenses et des mamelons comme des dés à coudre. Je ne sais ce qui m'a fait devenir une femme. Je n'attirais pas les garçons, je n'attirais pas plus les hommes.

Ma mère était contente que ça me soit enfin arrivé, elle que j'avais toujours connue avec une belle poitrine. Mais la mienne n'a jamais été très ferme et tombe sur mon torse. Et moi qui n'avait jamais porté de soutien-gorge me voici dans les plus grandes tailles! Mais mes seins n'ont jamais attiré mon mari et il les a toujours délaissés, allant jusqu'à prétendre que c'était le signe que j'allais avoir plein d'enfants.

Quatre ans après nous avons divorcé et j'ai commencé ma vie de recluse, métro, boulot, dodo jusqu'à ce que je rencontre celui qui allait devenir mon second mari. Nous sortions du théâtre avec des amies quand il est venu droit vers moi et m'a dit qu'il m'invitait à dîner. Je me demandais ce qu'il m'arrivait et lui insistait sous les sourires de mes amies. Je l'envoyais promener. J'en étais débarrassé. Mes amies disaient que celui-là je ne le reverrais jamais. Mais la nuit-même, il me harcelait à la maison d'un coup de téléphone. Il m'a dit que j'avais des seins magnifiques. Ma première pensée fut que j'avais affaire à un goujat. Comment s'était-il procuré mon numéro de téléphone. Je raccrochais et me rendormais.

Le lendemain matin, en sortant de mon immeuble, il était devant la porte et me proposait de m'emmener où je voulais, tout du moins à mon travail. Il avait une BMW dont le moteur tournait devant la porte de l'immeuble. Pour ne pas attirer l'attention j'acceptais. On roula. Je lui avait dit dans quel quartier je travaillais. Puis à un feu rouge, il m'a dit qu'il avait envie de moi. Je ne savais quoi répondre. Cela faisait quinze ans que je n'avais pas fait l'amour mais ce n'était pas le problème. Il répéta que depuis qu'il m'avait vue il ne pensait qu'à moi. Je plaisantais que ça ne faisait qu'une nuit et il me dit que c'était une nuit perdue pour nous deux.

Et comme je ne répondais pas, il s'engouffra dans l'entrée d'un parking souterrain puis immobilisa la voiture dans un coin sombre. Aussitôt sa main se jeta entre mes cuisses. J'étais incapable de réagir et c'est mon corps qui a pris la relève. La main se faisait insistante et ne s'arrêta que lorsque les doigts furent sur mes lèvres. Puis le type me dit encore une fois que j'avais une belle poitrine et que c'était un crime de porter un soutien-gorge. C'était en septembre et il y avait de belles journées et c'en était une et j'avais mis une robe noire décolletée qui s'évasait presque à mon nombril. J'exagère! Je ne pensais plus aux hommes et je me faisais plaisir. En faisant ma toilette, j'aimais bien passer le gant sur mes seins, les tenir par les mamelons et les soulever autant que possible. J'aimais ma poitrine Après tout c'était sûrement ce que j'avais de plus beau et dans le miroir... Une de mes amies lesbiennes m'avait dit un jour que je plaisais à son amante et ça m'avait laissée toute chose. Pourrais-je devenir lesbienne? Non, je préférais rester comme ça, seule et disponible... Disponible...

Ce type me faisait un mauvais effet et je dégrafais néanmoins mon soutien-gorge pour libérer mes seins et les lui abandonner. Il ne s'en priva pas, les palpant à pleine main, en pinçant les mamelons, les tordant. Il avait mis sa main gauche en coupe sous mon sein droit et en avait saisi le mamelon entre pouce et index et c'était comme s'il le masturbait. J'avais essayé une fois, quand j'étais ado, de me masturber comme je l'ai dit précédemment, et sans succès. Mais il y a quelques années, une amie m'avait confié une cassette en me recxommandant chaudement de la regarder. J'en avais passé une nuit torturée par ce que j'avais vu, une femme qui masturbait le sexe de son homme jusqu'à ce qu'il éjacule et puis elle se masturbait jusqu'à obtenir un orgasme.

Je savais ce que c'était. Quand le type fut lassé de me tirer sur le mamelon, il descendit de voiture et la contourna pour venir à ma porte. Il m'invitait à sortir et moi je me disais qu'il allait m'assassiner dans ce coin sombre. Mais finalement je sortis. Il me poussa sur le capot de la voiture, mes seins nus sur le capot encore tiède et ma robe qu'il remontait sur mes hanches.

Et j'ai reçu le gland, comme un coup de hache qui me fendait en deux puis le membre qui me pénétrait, imposant, dominateur et qui m'explosait le ventre. Puis les mains sur mes hanches, sur mes seins, le frottement de son ventre sur mes fesses et surtout le membre qui me pénêtre et se retire. C'était sans fin. J'avais l'impression que ça durerait des heures puis il ralentit et l'homme me dit qu'il allait jouir. Ça je connaissais. Le foutre gicla contre ma matrice mais ce n'était pas pareil que dans mes souvenirs. Tout d'un coup, une douleur partit de mes fesses et vint dans mon ventre et je retrouvais sans jambes, anéantie. Lui restait planté bien au fond pour que je ne puisse m'échapper. Puis il se retira et je me redressais sur mes jambes, tenant ma robe serrée autour de ma taille, Puis le foutre se mit à couler sur mes jambes et je voulais y porter ma main comme j'avais appris à le faire mais l'homme m'en empêcha. Le sperme coulait sur mes cuisses, mes mollets, mes chevilles. J'étais aux trois quarts nue, les seins et le cul à l'air et je ne réagissait pas. Il posa sa main sur mes fesses et les caressa. En baissant les yeux, je vis qu'il bandait encore, à demi puis je ne sais comment je me retrouvais prise entre ses deux mains, à demi pliée, une de ses mains sur mes fesses, l'autre tenant mes seins. J'avais le bout des seins en vrille et cette main qui les soutenait leur faisait du bien. C'était douloureux mais acceptable.

Le type m'aida à m'essuyer avec son mouchoir. J'en avais plein sur les jambes et ma toison était toute poisseuse. C'est bizarre comme on réfléchit car je pensais qu'en octobre j'allais remettre mes bas et mes porte-jarretelles car j'ai toujours abhorré les collants. Tout d'un coup je réalisais que je n'avais pas enlevé ma culotte, qu'il l'avait simplement repoussée sur le côté de ma vulve pour libérer le passage. Et que ma culotte était toute trempée de notre plaisir. Je dis notre plaisir car j'ai compris plus tard que j'avais eu du plaisir. Tout du moins cette fois-là, mon corps avait joui. Il me regarda remettre mon soutien-gorge, peiner à replacer mes seins. Jusqu'à ce jour je n'ai pas trouvé de moyen plus pratique que de saisir mes seins par les mamelons et de les soulever avant de les reposer dans les bonnets.

Et nous sommes remontés dans la voiture. En roulant vers mon bureau, je lui demandais comment il avait eu mon téléphone et il m'avoua qu'une de mes amies avait été bienveillante. Il mettait sa main entre mes cuisses chaque fois qu'il en l'avait l'occasion et moi j'écartais les cuisses pour qu'il puisse aller encore plus profond. Au bureau, il m'appelait toutes les cinq minutes, ce qui rendit perplexe mon patron qui ne s'intéressait pas à moi parce qu'il était gay.

Je commençais à fréquenter mon étrange amant jusqu'au jour où il me demanda de venir vivre avec lui. Mais il ne dit pas que ça : nous faisions l'amour dans des parkings ou des garages, plusieurs fois dans un bois. Il me dit qu'il aimait le sexe absolu et que ce devrait être mon cas. Comme je ne comprenais pas, il m'expliqua que l'amour ne se résumait pas seulement à un homme et une femme et qu'on pouvait y mettre du piment. Je craignais de comprendre. Alors commença la grande explication. Il avait vite compris qu'il avait fait naître en moi le besoin, le besoin d'être prise et de faire l'amour, le besoin de ses mains sur mon corps et surtout sur mes seins. Jusque là il ne m'avait pas encore embrassé sur la bouche et par expérience je n'aimais pas ça.

Je frissonnais de désir et de dégoût à la fois mais je comprenais que c'était parce que je ne connaissais pas. Il m'expliqua que je devais savoir ce que c'était de faire l'amour avec une femme parce que certaine de mes amies étaient lesbiennes. Et que si je l'aimais assez j'accepterais de faire l'amour avec d'autres hommes, pas seulement un à la fois. Si mon cerveau avait du mal à l'admettre, mon corps avait besoin de tout ça. Mes seins, mes fesses, mes cuisses, mes mains s'irritaient à l'entendre parler de ce que serait notre vie. Dans la voiture qui m'emmenait vers sa maison de campagne, je m'aventurais à parler de ce que je ne connaissais que par oui-dire. Je lui demandais s'il était un sadique et il me répondit que le sado-masochisme n'était pas du sadisme, parce que les femmes aussi aiment ce plaisir-là. Par exemple, me dit-il, tu as les seins assez gros pour que je les attache. Même, si tu le veux je te suspendrai par la poitrine. Je peux te fesser et tu pourras me le faire, et je forcerai ton con avec des objets dont tu n'as pas idée.

Les premiers mois furent enchanteurs. J'apprenais et mon corps s'habituait. Il me faisait l'amour en m'attachant sur le lit ou bien me liait les seins si serrés qu'ils ne soient plus que boules. Jusque-là nous n'avons fait l'amour qu'en levrette et j'apprenais à bien le sucer, à avaler sa semence, à m'asseoir sur lui et à lui faire sucer mes mamelons puis je commençais à entraîner ma vulve, m'enfonçant sur des plugs de plus en plus larges, de plus en plus gros et j'y prenais de plus en plus de plaisir. Puis ce fut le tour de mon anus. Un soir je fus déflorée puis je fus pénétrée par des plugs là aussi.

Pour mes quarante ans il m'avait offert une belle bague de fiançailles. Je voyais mes amies de moins en moins souvent car je passait le plus clair de mon temps à apprendre. Je les avais vues si souvent enceinte que je commençais à penser que ce devait être mon tour. Il était temps. Jusque là je prenais la pilule. Je devais demander. Ce fut sans problème car je n'avais qu'à arrêter. Trois mois plus tard j'étais enceinte. Je sentais mon corps travailler, mes seins se durcir et mes désirs renforcés. Mon maître relâcha un peu son astreinte même si tous les soirs il continuait à me prendre. Je suis une femme docile et jamais je ne me soustrairai à son désir. Mes seins se transformaient en mamelles et mon ventre s'arrondissait. Quant à ma vulve, ce n'était que désir.

Un couple vint dîner un soir à la maison et passa même la nuit. J'étais allé me coucher, un peu fatiguée tout de même quand l'homme vint cogner à ma porte. Il était nu et bandait déjà et me dit que nous allions faire l'amour ensemble. Je ne savais que répondre. Cela faisait-il partie de notre contrat? Mon mari apparut à la porte et approuva d'un clin d'oeil. Après quelques caresses, je me mis en levrette et l'homme vint derrière moi pour me prendre. Il caressait mon ventre et mes seins et en pinçait les mamelons et je me dis qu'il avait été bien chapîtré car c'était tout ce qu'aimais faire. Mais son membre allait et venait dans mon ventre et bientôt je fus inondée de son foutre.

En rouvrant les yeux je vis mon mari et la femme, tous deux assis sur le côté du lit qui nous regardaient faire. C'est bien? me dit mon mari. J'approuvais et il dit à l'homme qu'il pourrait le refaire s'il le désirait. Mais il ne le désira point. Il y avait toujours du monde le week-end et des hommes qui me faisaient l'amour. Mais il en venait aussi dans la semaine et j'étais toujours prête à les recevoir. Certains étaient plus vicieux que d'autres, dont celui qui m'avait attaché les seins aux barreaux du lit et cet autre qui passa la nuit à me sodomiser. Mon ventre et mes seins grossissaient sans cesse et je ne m'habillais plus, accueillant nos visiteurs toute nue, mes seins plein de lait écrasés sur mon ventre. Tout le monde me touchait, épouses et maris, tout le monde caressait mon ventre et mes seins, flattaient ma vulve et me faisaient jouir debout.

Petit à petit je me mis à désirer faire l'amour avec une femme. Elles me caressaient, suçaient mes seins plein de lait. Ma vulve avait envie d'elles. Mais ce ne fut pas le cas cette fois-là. La sage-femme me rendait visite toutes les semaines et disait que tout allait bien. Mais un soir je perdis les eaux et on l'appela en vitesse. J'accouchais devant tous, accroupie, soutenue sous les bras pendant que mon enfant prenait vie entre ses bras. Dire que j'avais attendu si longtemps pour un tel plaisir. Tous me regardaient. Mes seins bourgeonnaient de lait. J'allais donner le sein pour de vrai. Je donnais le sein mais j'en avais beaucoup trop. J'avais des seins de nourrice et on avait prévu une pompe mais ce soir-là je régalais tout le monde. Tour à tour, hommes et femmes vinrent se nourrir à ma source. Ça me soulageait et j'étais fière. D'avoir accouché naturellement, je n'avais presque rien senti et la douleur n'avait pas duré. Les mains tapotaient mes fesses et me flattaient pendant que j'abreuvais l'assistance.

Je ne repris mes délices que deux mois plus tard. Nous avions décidé que je serais de nouveau pleine et je ne recevais que la semence de mon mari. Les autres hommes éjaculaient sur ma figure, sur mes seins, sur mes fesses. Je les suçais et avalais leur sperme. J'avais aussi commencé à prendre et être prise par des femmes, avec de faux-sexes qui me pénétraient ou les pénétraient. Ce que j'aimais était qu'elles me forcent avec des godes immensément larges ou bien encore de les embrasser à pleine bouche. C'était autre chose qu'avec les hommes qui ne voyait ça que comme une mise en bouche avant de me prendre dans la gorge.

Le bonheur arriva rapidement et j'avais hâte que mon ventre soit le plus gros possible le plus vite possible et mes seins à l'avenant. Faire l'amour c'est meilleur quand on est enceinte. Les hormones vous transcendent et on est en manque tout le temps. Désormais libérée, la ronde repris et je me mis à faire les couples, la femme en soixante-neuf tandis que le mari me prenait où bon lui semblait.

Avec mon mari, avant de faire l'amour, nous regardions les vidéos qu'il avait tourné pendant que je me donnais et nous en faisions des commentaires, notant mes prestations. Dire que pendant si longtemps j'avais ignoré cet immense plaisir. Je me masturbais autant que possible avec mon gros ventre puis il prenait le relais. J'étais devenue une belle salope, assoiffée de sexe et de plaisir. Une belle pute dit un jour mon mari.

Cette fois-ci j'étais pleine d'un garçon et d'une fille, des jumeaux si bien que mon ventre était vraiment énorme et excitait davantage les mâles qui venait me prendre. J'étais vraiment monstrueuse. La plupart du temps je vivais à quatre pattes ou couchée sur le côté. Quand j'étais debout, mes seins dégueulaient de chaque côté de mon ventre. J'étais femme, j'étais femelles. J'étais dans mon élément.

D'avoir des jumeaux ça fatigue et je devais souffler, aussi arrêtâmes nous de recevoir des amants. Mon mari tente de calmer les désirs de mon corps. L'amour seulement une fois par nuit ne calme absolument pas mes besoins aussi je me contente de godes. Je pense et réfléchis et quand on pense on se rend vite à l'évidence. Je suis une vraie pute même si nous ne faisons pas payer. Aujourd'hui j'ai quarante-six ans et je m'occupe de nos trois enfants. Ils sont encore trop jeunes pour comprendre combien leur mère a besoin de cette vie. Je vis la plupart du tempsnue. D'ailleurs quand mon mari rentre, il me fait retirer mes vêtements. Dans les beaux jours, je vis nue dans le jardin et dans la piscine. Nous pourrions pu vivre en Afrique. Si j'en étais capable je ferais des enfants autant que je peux. Je n'ai besoin que d'une chose, le membre qui me force, la semence qui me féconde. De temps en temps, je supplie mon mari de faire venir un amant, pour rassasier mes besoins. Il le fait. L'autre semaine j'ai joui parce qu'on me fessait avec une baguette.

Mon mari a mis la machine en route et il n'y a pas de raison pour que ça cesse. Je sais qu'entre nous deux ce n'est pas entièrement de l'amour. Je l'aime parce qu'il m'a révélée et m'a fait découvrir le plaisir, qu'il a laissé mes sens percer la croûte de mon ignorance. Je me rends bien compte que mon attitude peut paraître provocatrice mais c'est ce que j'aime. J'aime mon corps, j'aime l'amour, j'aime céder au désir. Comme pour ces piercings sur les lèvres de ma vulve ou ce tatouage que j'ai maintenant sur le sein gauche, cette guirlande de fleur qui entoure mon aréole et qui me fait rougir de plaisir. Comme ce premier fisting qui m'a donné mon plus bel orgasme. Comme cet homme qui m'a percé les deux seins avec une longue aiguille. Comme mon mari qui me suspend par les seins au lustre jusqu'à ce que mes pieds touchent à peine le sol. J'ai enfin de vrais seins de femme et mes mamelons arrivent sous mon nombril.

J'aime satisfaire plusieurs hommes à la fois, couchée sur l'un qui me prend dans la vulve, l'autre qui me sodomise et le troisième qui me prend dans la bouche pendant que je branle deux autres amants. J'aime les voir se masturber et jouir sur mon corps. J'aime avoir du sperme sur le visage, dans mes cheveux. J'aime me masser la poitrine avec. 

J'aime être forcée comme quand ils m'ont forcée à prendre un godemiche de dix centimètres de diamètre dans l'anus. J'aime qu'on m'avilisse comme quand un couple fait l'amour à côté de moi et qu'ils m'interdissent de faire quoi que ce soit! J'aime qu'on me ligote et j'aime le cuir s'il me soumet. 

Quand on sort, je mets des décolletés qui ne cachent rien de mes seins et des robes si courtes qu'elles ne cachent rien de mes fesses. J'ai gardé mes longs cheveux châtain que je roule en chignon et je suis si poilue que ça va de mon nombril jusqu'au haut de mes fesses. Et mes aisselles sont pareil. Je ne les ai plus rasées depuis mon divorce.

Mon mari a fait de moi une vraie pute et m'a permis de me révéler. Comment aurai-je pu savoir tout ce que je sais aujourd'hui s'il n'avait pas été là, s'il ne m'avait pas prise cette première fois dans ce parking, s'il n'avait pas été capable de me révéler, de faire jaillir tous mes besoins, mes désirs. Je suis aussi une vraie salope qui se caresse même au restaurant.
Par Amarylia - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 01:21
J'ai donné rendez-vous à la nouvelle Amarylia, à la terrase d'un café patissier... elle a mangé une Marie-Charlotte au chocolat.
Il paraît que le chocolat est aphrodisiaque pour les femmes...

J'ai profité de ce bel été indien pour tester sa soumission.

2007-10-04-15100.jpg

je lui ai demandé d'aller enlever sa culotte dans les WC et de revenir m'en donner la preuve.

2007-10-04-15102.jpg

les photos se passent de commentaire

et au départ, avant de la laisser monter dans la voiture, je lui ai demander de montrer son cul et sa chatte...

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2007-10-04-15104.jpg

charmant spectacle vous ne trouvez pas ?



Nous avons un autre rendez-vous ce WE...
je ne manquerai pas de vous tenir au courant

Monsieur
Par Amarylia - Publié dans : Amarylia
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 15:43

Bonjour tout le monde je m’appelle Emilie, j’ai 24 ans je suis plutôt mignonne petite brune cheveux long, bien foutue, 1m66 pour 54 kg et un beau 90 C. l’histoire que je vais vous raconter c’est passée l’année dernière. Je suis partie faire une colo en tant qu’animatrice, mais arrivée sur place, j’ai été catapultée directrice adjointe. Au début ça m'a fait flippée, j’avais aucune expérience à ce poste.

Le directeur, la quarantaine était très exigeant avec ces adjoints, mais il était très professionnel. Il m’a vite mise à l’aise et j’ai commencé à bien faire mon job. En plus je voyais bien que je lui plaisais plus que les autres et j’étais bien décidée à en profiter un peu. Comme il faisait très chaud je passais la majeure partie de mon temps en petite robe avec juste un string dessous, ou en maillot de bain avec un paréo. Christophe, c’est son nom me reluquait souvent, il me lançait des petits sourires, bref j’avais l’air de beaucoup lui plaire physiquement. Un soir j’ai dû préparer la veillée du lendemain avec les anims, mais on a vite fait notre réunion et planifié la soirée du lendemain pour pouvoir profiter du peu de temps libre que nous avions. Si bien que le lendemain la veillée a été un fiasco. Ca n’a pas raté, je me suis fait convoquer dans son bureau. Il n’avait pas l’air content quand je suis arrivée dans son bureau.

- "Ferme la porte" me dit il sèchement.

J’allais me prendre un savon et ça n'a pas loupé, je me suis faites pourrir pendant une bonne demi-heure. J’étais très gênée et rouge de honte jamais on ne m’avait parlé comme ça, je m’enfonçais dans mon siège et acquiescais. Il y eut une minute de silence, il s’assit derrière son bureau.
Soudain il me dit :

- Viens là !

Je me suis approchée de son bureau, il a mis sa main sur son pantalon et a commencé à se caresser la queue par-dessus.

- Viens te faire pardonner, mets-toi à genoux.

J’étais tétanisée, et ne savais quoi faire, mes jambes tremblaient et je me suis mise à rougir.

- Dépêche, à genoux et viens te faire pardonner !

Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis exécutée, et je me suis retrouvée à genoux devant lui, il a sorti sa queue, a pris ma tête dans sa main gauche et l’a approchée de son sexe déjà à moitié érigé. Je me suis retrouvée avec son gland contre mes lèvres et complètement hypnotisée par ce sexe j’ai entrouvert ma bouche pour gober cette queue qui m’était inconnue.

Il s’est mis à gémir pendant que je léchais sa bite, des hummm c’est bon, puis des "tu suces bien salope, j’en étais sûr !" ma chatte commençait à mouiller malgré cette situation inhabituelle. Je l’ai pompé pendant quelques minutes puis sans me prévenir il s’est mis à juter dans ma bouche en maintenant ma tête fermement de ses 2 mains. Surprise j’ai avalé tout ce sperme salé et chaud qui emplissait ma bouche.

Je suis tombée en arrière, un haut le cœur me pris et je me suis mise à tousser avec les larmes aux yeux.
Soudain, le cuistot du camp est sorti du placard un caméscope à la main

-"Putain mon vieux, t’es un petit veinard elle a l’air de bien sucer la petite !"

-"Comme tu peux le voir Emilie, Franck a tout filmé, maintenant si tu veux récupérer le film, il va falloir être gentille et obéissante avec moi pendant tout le reste du séjour, compris ?"

Les larmes aux yeux je me suis rendue compte que j’avais été piégée et je ne pus répondre que par un petit "oui"

-"Maintenant retourne dans ta chambre demain c’est ton jour de repos profite bien de cette journée et reviens me voir a 18h, douchée et maquillée. Ah oui, si ce n’est pas fait je veux que tu t’épiles la chatte complètement, et que tu viennes avec ton petit maillot noir et un paréo. Maintenant tu peux partir."

Je suis retournée dans ma chambre et j’ai pleuré une bonne parti de la nuit, je repensais à tout ça, et je ne savais absolument pas quoi faire, il faut dire que je prépare le concours d’instit et me faire virer d’une colo ne ferait pas bon effet sur mon cv.

Je me suis endormie. Le lendemain je me suis rendu-compte que je n’avais pas le choix, alors je suis allée en ville pour me changer les idées mais rien n’y faisait. Je suis retournée au camp vers 16h et me suis résignée à obéir à Christophe. J’ai commencé par m’épiler la chatte et bizarrement en repensant à hier soir je me suis mise à mouiller comme jamais. Je suis allée prendre une douche et j’ai enfilé mon maillot de bain et mon paréo.

18h arriva et je me suis mise en route vers son bureau, que voulait il faire de moi ?
J’allais bientôt le savoir !

-"Entre" dit il

Il était assis derrière son bureau, et le cuistot était assis en face de lui.

-"Ferme la porte… à clef"

Ohoh ! Ça ne présageait rien de bon, mais je me suis exécutée.
Franck c’est levé, m’a prise par le bras et m’a tirée vers le bureau.

-"Bon ma petite Emilie, on va bien s’occuper de toi, tu fermes ta gueule et tu l’ouvriras quand on te le dira, ou pour crier ta jouissance, parce que crois moi, ce soir tu vas beaucoup jouir"

Ensuite tout c’est enchaîné, ils m’ont demandé de me mettre à poil, et je me suis exécutée, ensuite ils m’ont couché sur le bureau et pendant que Franck me léchait la chatte, Christophe me léchait les tétons. Franck faisait glisser sa langue de mon vagin à mon clito, et je me suis mise à mouiller, ensuite il s’est mis à me lécher l’anus. Jamais quelqu’un n’avait posé quoi que ce soit sur ma rondelle, je me suis surprise à aimer ça malgré la gêne que la situation m’imposait.
Christophe a sorti sa queue, il m’a incliné la tête et a posé son gland sur mes lèvres, j’ai ouvert la bouche et je me suis mise à sucer ce gland.

-"Ah tu suces bien ma salope, je t’ai bien choisi, tu vas devenir une superbe petite pute de luxe"

Franck a sorti sa queue et il s’est mis à la frotter sur mon clito, j’étais de plus en plus excitée, et je me suis mise à sucer avec beaucoup d’application la queue qui remplissait ma bouche.
Franck m’a pénétrée d’un seul coup sans ménagement.

-"Putain elle est serrée j’ai l’impression de lui baiser le cul"

-"T’inquiète Franck, on s’occupera de son cul toute a l’heure"

Effrayée par ce que je venais d’entendre, j’ai arrêté de sucer Christophe et j’ai commencé à les supplier de ne pas faire ça.

-"S’il vous plait ! Tout mais pas de sodomie".

-"On fera ce qu’on veut salope, on te prendra le cul tout à l’heure ça fait parti des choses qu’on a décidé de faire avec toi de toute façon tu n’as pas ton mot a dire, maintenant la ferme et suce".

Je me suis exécutée, et même si j’étais apeurée par ce que je venais d’entendre je me suis remise à sucer la queue de Christophe avec gourmandise. Me faire baiser et sucer par deux types en même temps, commençait à m’exciter de plus en plus et mon vagin c’est mis à se dilater et à mouiller comme jamais. Christophe a pris la place de Franck et il s’est mis à me pistonner de plus en plus fort, mes seins étaient ballottés dans tout les sens. Après plusieurs minutes de ce traitement, Christophe a enfoncé un doigt dans mon cul, je n’ai même pas pu crier car Franck utilisait ma bouche comme un vagin. Jamais une queue n’avait été aussi profondément dans ma bouche, j’étais entrain de lui faire ce qu’on appelle une gorge profonde.
Un puis deux doigts ont pris place dans mon anus, j’étais complètement dilatée et excitée, maintenant j’avais envie qu’il me baise le cul comme il avait baisé ma chatte quelques minutes plus tôt.

-"Baisez moi le cul !"
-"Et bien il t’en a fallu du temps avant de te rendre compte que tu étais faite pour ça"
_-"Dis Christophe, si on se baise cette chienne tout les deux en même temps, je suis sur que ça va l’exciter de se faire prendre par deux bites en même temps"
-"Bonne idée en plus on ne perdra pas de temps comme ça"

Ils m’ont relevé du bureau, Franck s’est couché par terre et Christophe ma guidé jusqu'à sa queue et je me suis empalée d’un seul coup, et Franck c’est tout de suite mis à me pistonner avec force. Ensuite il m’a couché sur lui en me tenant les mains derrière le dos. Je savais ce que ça signifiait, et Christophe a positionné son gland sur ma rondelle. Il s’est mis à pousser, quand son gland a passé ma rondelle j’ai eu le souffle coupé, il est resté quelques scondes comme ça, pour que mon cul s’habitue puis il s’est enfoncé d’un coup jusqu'à la garde, j’ai poussé un râle et j’ai failli m’évanouir tellement la sensation était violente.
Ils se sont mis à bouger en même temps, j’avais l’impression d’être déchirée en deux, mais très rapidement la douleur a laissé place au plaisir

-"Putain t’es toute serrée ma petite Emilie, il va falloir qu’on s’occupe plus souvent de tes orifices pour bien te les élargir"
-"oh oui ! J’ai envie que vous me baisiez encore comme ça !"
-"tu vois je savais qu’une salope était enfouie en toi, tu vas devenir notre petite salope"
-"tout ce que vous voulez Christophe, c’est tellement bon"
-"t’as envie de devenir notre chienne ?"
-"oui je veux devenir votre chienne c’est trop bon ce que vous me faites je veux devenir votre pute, votre salope prête à faire tous ce que vous voudrez !"
-"tu es vraiment prête a tout ?"

La sensation de ses deux bites dans mon cul et ma chatte me rendait folle et je ne savais plus ce que je disais.

-"oui tout ce que vous voudrez, je serais très obéissante, j’aime ce que vous me faites"
-"très bien ma petite Emilie, on en reparlera tout a l’heure mais souviens toi bien de ce que tu viens de dire".

Je venais de me mettre dans de beaux draps, mais la jouissance que cette double pénétration me procurait, me faisait dire n’importe quoi. Sur ce, ils se sont mis a me baiser de plus belle, et tout d’un coup un orgasme fulgurant m'a traversé, j’étais sur une autre planète.
Christophe est sorti de mon cul qui est resté grand ouvert et il a présenté sa bite devant ma bouche, j’ai avalé cette queue qui venait de sortir de mon cul, et après quelque va et vient il s’est déversé dans ma bouche, je me suis appliquée à ne pas laisser couler la moindre goutte de son sperme, je l’ai regardé dans les yeux, j’ai entre ouvert ma bouche pour lui ai montré son jus sur ma langue puis j’ai tout avalé sans dégoût. C’est à ce moment que Franck c’est vidé au fond de ma chatte ce qui m’a provoqué un nouvel orgasme. Je me suis écroulée sur le côté, mon corps était vidé de ses forces mais plein de leur jus.
Ils se sont rhabillés en ce félicitant d’avoir trouvé une salope comme moi.

-"tu sais Emilie, je me souviens de ce que tu as dit tout a l’heure, tu viendras tout les soirs après ta réunion avec tes anims, et on s’occupera bien de toi, on va faire de toi une vraie salope qui ne vivra que pour la baise."

Je les ai regardé et après leur avoir dit un "Oui pas de problème je suis d’accord" je me suis dit que j’allais devenir une vrai petite pute, et que j’aimais ça.

 

 
Par abcd-wxyz - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 14:59

Voilà un récit que vient de m'envoyer la nouvelle Amarylia
ça promet pour la suite :

  

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Ballade en vélo !

Depuis l'épisode de la piscine et de la plage, Jérôme et Roselyne étaient devenus de très bons amis. C'était notre troisième sortie et nous avions décidé de faire une ballade en vélo, ou plutôt en VTT. C'était toujours en plein été, il faisait chaud, nous étions tous en vacances et voulions en profiter au maximum.

Pour cette occasion, j'ai mis une de mes tenues préférées : Un T-shirt très court que j'ai coupé afin qu'il m'arrive juste sous les seins, une mini-jupette très légère, celle du tennis, et évidemment, comme à mon habitude, rien d'autre dessous.

J'adore la sensation de la selle sur mes fesses nues. Son frottement sur mon sexe m'excite. C'est vraiment très fort. Depuis l'épisode de la piscine il y a quelques semaines, je découvre tous les jours de nouvelles sensations érotiques à me promener sans sous-vêtements. C'est une vrai drogue. Je ne peux plus m'en passer.

J'étais en avance et j'ai pris mon temps pour arriver jusque chez mes amis. J'étais à la sortie de ma petite ville et je roulais doucement pour ne pas provoquer une émeute si des gens voyaient mes fesses à l'air. Mais, il n'y avait pas grand monde sur ce trajet. Heureusement, car même avec ma faible vitesse, ma jupette remontait sur mes cuisses et j'apercevais ma fine toison par devant. J'avais beau baisser ma jupe, elle remontait toujours. Mais les passants ou les voitures que je croisais n'avaient qu'un aperçu très fugitif. Pourtant quelques coups de klaxon me laissaient deviner qu'ils appréciaient la vue.

N'ayant pas été autrement importunée, quelques minutes plus tard, j'arrivais chez mes nouveaux amis, la vulve déjà trempée par le frottement de la selle. Je sonnais et Jérôme vint m'ouvrir à poil. J'étais un peu en avance et ils se préparaient. Pour me dire bonjour, il m'embrassa directement sur la bouche et nos langues se mêlèrent. Puis il introduisit un doigt dans ma fente. Déjà ? Çà commençait bien. Roselyne arriva, nue elle aussi. Elle m'embrassa à pleine bouche. Décidément, mes amis étaient vraiment très chauds. Mais cette fois c'est moi qui pris les devants et je lui caressai la vulve. Geste qu'elle me rendit aussitôt pour me dire :

Tu n'as rien mis ?

Tu sais bien que je ne mets plus jamais rien sous mes jupes depuis la piscine.

Oui, mais même en vélo ? Avec une jupe aussi courte, on va voir tes fesses.

J'y compte bien ! Mais là où nous allons, c'est désert. Et j'adore sentir la selle. Alors ? Vous êtes prêt ?

Oui, on s'habille et on arrive.

Jérôme attrapa un short qu'il enfila directement sans slip et il resta torse nu. Roselyne revint de sa chambre pratiquement dans la même tenue que moi, un petit haut jaune très court attaché par un seul nœud qui laissait apercevoir le galbe parfait de ses seins et une mini-jupette semblable à la mienne. Elle la souleva pour me montrer qu'elle n'avait rien mis dessous. 

Nous sommes partis et je suis passée devant pour leur montrer la route. Il y avait toujours aussi peu de monde dans ces rues, mais encore quelques coups de klaxon. Nous avons vite atteint une petite départementale toujours déserte.

Roselyne monta à ma hauteur, laissant Jérôme derrière qui devait en profiter pour nous observer.

Alors ? Çà fait comment de derrière ? Lui dis-je.

C'est super. Jérôme n'en rate pas une miette. On voit tes seins par en dessous. C'est génial.

Ah oui ? Et toi alors ! Avec la vitesse, ton petit haut flotte au vent et on voit entièrement tes seins. C'est super beau. Attends je vais voir de derrière.

Et je me laissais glisser en arrière. A quelques mètres derrière elle, je voyais la rondeur de ses seins sous son petit chemisier court complètement remonté et sa jupette voler au gré du vent et de la vitesse. C'était vraiment excitant. J'admirais ses jambes musclées, ses fesses bien fermes et sa silhouette de rêve. Pleine d'admiration, j'attendais maintenant qu'une rafale bien placée soulève sa jupe un peu plus qu'il ne fallait. Mon attente fut brève. Car ayant repris un peu de vitesse, la jupette volait maintenant derrière elle découvrant un peu plus ses fesses. Mais on aurait pu croire qu'elle portait un string car j'apercevais un très joli petit cul fendu qui se trémoussait sur la selle au rythme de ses coups de pédales. C'était un très joli spectacle et je commençais à mouiller sérieusement. Quelquefois, j'apercevais toute la profondeur de sa raie des fesses et j'imaginais son petit trou au bord de la selle. Elle se masturbait visiblement sur son siège et ça me rendait folle d'excitation.
Eh ! Les filles, vous allez me faire jouir dans mon short. Vous êtes craquantes !

Jérôme n'en pouvait visiblement plus de nous observer par derrière. C'est vrai que le spectacle valait le déplacement. On arrivait à une côte et, impatient de voir ce qu'elle allait faire, je suis restée derrière elle. Elle se mit en danseuse avec une parfaite maîtrise et grimpa facilement la montée. Le spectacle de son joli cul partiellement dévoilé à chaque coup de pédale et se dandinant de gauche à droite dans l'effort me porta au summum du désir. Quelle allumeuse ! En danseuse, je voyais tout, son cul, sa chatte, la naissance de sa touffe autour de celle-ci. Je n'en pouvais plus. Ma jouissance n'était pas loin. Obligée de prendre la même position pour monter cette côte, j'imaginais Jérôme devant se contrôler pour ne pas jouir dans son short. Je me dandinais au maximum pour l'exciter encore plus. J'aurais bien voulu que çà lui arrive.

 

En haut de la côte, elle se rassit et comme elle semblait s'amuser à ce qu'on la suive, je suis remontée à sa hauteur et je lui ai fait signe du pouce de l'admiration que j'avais pour elle. Ce qui la fit sourire. Ses seins étaient toujours entièrement visibles sous son chemisier remonté. D'ici, sa jupette remontait sur son ventre et j'apercevais le haut de sa touffe. De face le spectacle devait être aussi surprenant quoique très fugitif. Alors, je suis passée devant et je l'ai regardée en me retournant. Je pouvais voir sa touffe bien dégagée rythmée par ses coups de pédale. Avec son décolleté flottant au vent  j'apercevais deux seins magnifiques qui ballottaient lentement. Mon jus mouillait entièrement ma selle. En la touchant, je sentis que des gouttes tombaient par terre. J'étais une vrai fontaine. Je suis revenu à sa hauteur.

J'ai entièrement mouillé ma selle. Çà dégouline par terre.

Moi aussi, tiens, sens.

Elle mis sa main sur sa selle et me fis sentir ses doigts. Ils étaient trempés et sentaient fort l'odeur de sueur et de cyprine. Je lui pris la main et mis ses doigts dans ma bouche pour les nettoyer. J'aime ce goût. Puis j'en fis autant pour elle. Soudain, une idée germa dans mon esprit.

Tu sais ce que j'aimerais ?

Non.

Avoir un gode attaché sur ma selle pour me l'enfoncer à chaque coup de pédale.

Alors, toi, t'es une vrai vicieuse. Mais tu as raison, bon sang que çà doit être bon ! Eh ! Jérôme. Arrive un peu par ici.
 

Et Jérôme remonta à notre niveau. Son short était déformé par une énorme bosse qui ne demandait qu'à s'échapper.

Tu devrais le laisser dépasser par la braguette, lui-dis-je. Sinon, il va exploser.

Et tout le monde de rire. Mais aussitôt dit, aussitôt fait. Son énorme pieu décalotté et tout violacé à force de frotter dans son short pointa son nez dehors.

Il nous indique la route ?

Oui, c'est par là.

Tu sais ce que Sylvie aimerait ?

Non.

Greffer un gode sur sa selle. Tu crois que c'est possible ?

Hein ? Oh oui sans doute. J'en ai toujours un dans ma sacoche. On peut essayer.

Nous nous arrêtâmes aussitôt sur le bord de la route. Jérôme, toujours son sexe bandé dehors, entreprit de chercher dans la sacoche de son vélo. Il en sorti un gode et de la ficelle. Puis il s'appliqua à le fixer sur ma selle. J'avais peur que la ficelle me fasse mal. Mais en fait, il l'a faite passer par les trous de la selle. Cela devrait aller. Mon vélo avait vraiment une drôle d'allure.

Oh super ! Mais comment te remercier ?

Devine....

Alors j'ai pris sa bite dans ma bouche et je l'ai pompée. J'étais trop excitée. Je voulais boire son jus. Je n'ai attendu que quelques secondes. Il a aussitôt giclé en moi en poussant un long râle profond. Il était vraiment au bord de la jouissance. J'en avait plein la bouche et çà débordait. Je ne pouvais pas tout avaler tellement il y en avait. Roselyne m'a poussée pour en profiter aussi et nettoyer son homme. Puis elle vint me lécher le visage pour récupérer le trop-plein qui me coulait sur le menton. On s'est embrassée et je lui ai refilé le surplus que j'avais encore dans la bouche.

Oh ce que c'est bon. J'adore çà, me dit-elle. Je pourrais en boire un plein verre.

Monte sur ton vélo, que je vois ce que çà te fais, me dit Jérôme.

Alors, je suis montée sur ma selle et je me suis enfoncée délicatement sur le gode. Empalée à fond dessus, j'avais la chatte pleine. Quel bonheur !

Çà te fait mal ?

Non, pas du tout. Au contraire, je me sens pleine, c'est super. Il est bien au fond. Ah !

Quoi ?

Non, rien. C'est trop bon.

J'ai hâte d'essayer moi aussi, me dit Roselyne. T'en n'as pas un autre ?

Non, désolé. Je ne suis pas un supermarché.

Oh oui, oh ! C'est trop bon ! Allez, on repart. Je veux voir ce que çà fait en roulant.

Doucement, j'ai commencé à rouler. Tout allait bien. Je ne sentais pas la ficelle, seulement le gode au fond de moi qui me lançait des ondes de plaisir à chaque coup de pédale. Roselyne m'a doublée sans peine, je n'allais pas vite tellement c'était bon. Entre deux râles de plaisir, j'ai remarqué qu'elle était nue sur son vélo. Ses minces vêtements avaient atterri dans la sacoche de Jérôme. D'ailleurs, à nous voir ainsi, sa bite recommençait à durcir hors de sa braguette et elle nous indiquait encore la route. Ils étaient tous les deux de chaque côté de moi et m'observaient avec attention et envie. Mais plus que les coups de pédale, c'étaient les cahots de la route qui me faisaient le plus de plaisir. Cela faisait cinq minutes que j'avais le gode en moi et je n'en pouvais plus de plaisir. Et d'un seul coup, j'ai explosé. J'ai crié comme une folle. J'avais orgasme sur orgasme.  Quand çà s'est calmé, j'ai sentis des bras de chaque côté qui me soutenaient. J'étais toujours sur le vélo avec le gode en moi. Mais mes amis m'empêchaient de tomber. J'étais à moitié consciente. Après quelques secondes, j'ai pu descendre de vélo et m'affaler sur le sol. Ma selle dégoulinait.

Dès que j'ai lâché le vélo, Roselyne s'en est emparée. Elle était impatiente de vivre cette expérience. Mais elle attendait patiemment que je revienne à moi. Finalement, je me suis relevée et avec son mari, je l'ai aidée à monter sur le vélo. Elle s'est empalée doucement sur le membre de plastique en criant que c'était bon. Puis, elle est partie en pédalant de travers et en prenant toute la route. J'avais peur qu'elle tombe. Elle était assise sur la selle, le gode bien enfoncé en elle. Elle poussait de petits cris à chaque coup de pédale et encore d'autres plus forts sur chaque cahot. Qu'elle était belle toute nue sur mon vélo en train de prendre son pied ! Avec Jérôme, nous sommes partis à sa poursuite pour l'aider au moment crucial. Elle criait maintenant sans arrêt et elle avait du mal à garder sa route. Puis soudain, elle eut un cri plus fort que les autres. Elle jouissait là, sur la route en continuant à pédaler. Elle maîtrisait comme elle pouvait son vélo et elle jouissait à n'en plus finir. Elle a bien fait cent mètres en jouissant. Puis, je l'ai vue se soulever et sortir du gode pour se rasseoir aussitôt plus doucement et avec difficulté.  Et en poussant un cri perçant, elle s'empala de tout son poids sur le gode. Elle roulait sur le bas côté de la route, là où il y a le plus de cahots. Elle n'arrêtait pas de pousser des cris de plaisir. Soudain, elle bifurqua à droite dans un chemin qui descendait légèrement dans la forêt. Elle ne pédalait plus, la pente se chargeant de faire avancer le vélo. Les énormes cahots du chemin la faisait sauter sur sa selle. De temps en temps j'apercevais le bas du gode qui sortait de son trou. Revenue juste derrière elle, je m'aperçue qu'elle avait le gode dans le cul. Elle jouissait à n'en plus finir. J'avais peur qu'elle tombe et se fasse mal. Sur ce chemin, impossible de l'aider. Puis, soudain, elle fit un écart et tomba sur le côté dans une zone sableuse. Ne sentant pas la douleur, elle continuait de jouir à terre, toujours empalée sur son gode qui n'était pas ressorti. Nous nous arrêtâmes et Jérôme déplaça délicatement le vélo pendant que je la soutenais pour qu'elle ne se blesse pas. En se retirant, le gode fit un "Plop" plutôt amusant.

Sa cuisse droite était un peu râpée, mais rien de grave. Alors, Jérôme quitta son short et se jeta sur elle. Il l'allongea sur le ventre et entreprit de remplacer le gode. Il l'encula sans ménagement. Reprenant ses esprits, tout en poussant des cris de plaisir, Roselyne parvint à se mettre sur ses genoux en levrette. Elle me demanda de venir la lécher. Me mettant nue moi aussi, je me glissai sous elle et entrepris de lui lécher le minou. Il coulait abondamment et son jus était délicieux. Je me mis à me caresser en même temps le clito. Puis, je sentis la langue de Roselyne venir remplacer mes doigts. Elle poussait des cris étouffés par mon sexe. Au dessus de moi, je voyais la bite de Jérôme aller et venir de plus en plus vite dans son anus. Soudain, il s'arrêta et poussa un cri rauque tandis qu'il était secoué de spasmes. Je vis son membre vibrer du jus qui coulait dedans. Puis ce fût au tour de Roselyne de me délaisser pour crier son plaisir et sa jouissance. Elle était prise de convulsions anarchiques et n'en finissait plus de jouir. Je n'arrivais plus à la lécher et le membre de Jérôme fut soudain expulsé de son antre. Son jus coulait sur mon visage et je m'empressai de le boire. Puis, ce fut au tour du trou de balle béant de Roselyne de laisser échapper le précieux liquide que je me suis empressée de recueillir. Il avait un goût plus fade dû à son séjour dans ce trou secret. J'ai tout avalé jusqu'à la dernière goutte et j'ai même fait pénétrer ma langue dans le trou dilaté qui commençait à se refermer.

Soudain, j'ai senti une langue sur mon sexe. C'était Jérôme qui avait fait le tour et qui venait me lécher le minou. Une onde de plaisir me traversa et je commençais à repartir. La bouche de Roselyne remplaça celle de son mari et il m'amena sa bite molle à hauteur de ma bouche. Je l'ai sucée pour le faire rebander. Je voulais son sexe dur dans ma chatte. Celui-ci ne tarda pas à reprendre de la vigueur.

Viens ! Je veux ta bite en moi. Viens ! Mets la moi. Je la veux.

Il ne se fit pas prier et sa bite vint remplacer la bouche de sa femme. Oh que c'était bon. Il l'enfonça tout au fond et commença à me limer pendant que Roselyne me suçait les tétons. Elle remonta jusqu'à ma bouche et nos langues se mêlèrent dans un long et profond baiser qui me fit chavirer. Je me suis mise à pousser des cris étouffés par la bouche de Roselyne. Je jouissais comme une folle. Je sentis le liquide chaud de Jérôme gicler en moi. Roselyne m'embrassait toujours.

Quand je revins à moi, Roselyne était assise dans le sable et nettoyait avec sa langue la bite molle de Jérôme. Elle n'en perdait vraiment pas une miette.

 Nous sommes restés tout l'après-midi dans ce bois à faire de nouveau l'amour, puis nous sommes rentrés en nous promettant de recommencer très vite.

 Par Sylvie (Amarylia)
 
 
 

Par abcd-wxyz - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 14:54
Je me présente, Didier, trente deux ans, brun. Je suis marié à une jolie femme de vingt-huit ans, Chantal, brune, un joli corps et surtout une superbe poitrine. Elle a de très gros seins qui attirent les regards, et j'avoue que ça me plaît. Je vous écris pour vous raconter comment j'ai mis ma femme dans les bras de deux hommes. J'ai un grave problème : dans les magasins, je ne peux m'empêcher de voler. Je me suis déjà fait pincer et emmener chez les flics. On m'a dit qu'à la prochaine récidive, je risquais de graves ennuis. J'ai arrêté un moment, puis un jour j'ai replongé: dans une grande surface, j'ai volé des disques compacts. Deux surveillants m'ont emmené dans leur bureau où je leur ai remis les disques. Alors qu'ils allaient appeler la police, je fus pris de panique et sans espoir, je les suppliai de me relâcher. Je n'avais pas assez d'argent sur moi pour payer, mais je leur montrai mes papiers en leur disant qu'ils les gardent et que j'irai chercher l'argent pour payer les disques. En ouvrant mon portefeuille, je fis tomber quelques photos au sol. Sur l'une, on voyait ma femme en tee-shirt et minijupe. Son maillot contenait avec peine son opulente poitrine, et je vis l'un des vigiles la regarder avec intérêt. Il dit à l'autre:

- Regarde un peu ces seins, j'adore les gros nichons, et elle a l'air d'avoir un joli cul!

Ce type m'agaçait mais je préférai me taire. Il était bedonnant et laid. Son collègue était plus jeune et mieux physiquement. Il regarda la photo de Chantal et me dit que lui aussi aimait les gros nichons. Ils me demandèrent si c'était ma femme, je leur dis que oui, et que j'avais une photo d'elle en maillot de bains, prise cet été, dans le portefeuille. Je la leur montrai en espérant gagner leur clémence. Chantal, sur cette photo, était dans l'eau jusqu'aux genoux. Elle portait un maillot de bains deux-pièces et ses seins débordaient généreusement du maillot. Elle était super bandante. Les deux types furent d'accord à ce sujet. Je leur dis alors:

- Gardez la photo et laissez moi partir!

Ils se mirent à rire en disant qu'il leur en fallait plus.

- Si ta femme se montre à poil devant nous et qu'elle nous suce, alors d'accord! me dit le gros vigile.

Sans savoir s'il plaisantait ou non et sans réfléchir, je leur dis:

- OK, je téléphone à ma femme pour lui expliquer et nous allons chez moi.

Les vigiles me dirent alors qu'ils remplissaient une fiche de renseignements réglementaires suite au vol, fiche où figure mon identité, et que si tout allait bien, ils me la donneraient, sinon ils la transmettraient aux flics.
J'appelai alors Chantal. Le gros prit l'écouteur. J'expliquai à Chantal que je m'étais fait épingler et ce que souhaitais d'elle. Elle refusa d'abord. Je lui dis alors qu'étant fiché et récidiviste, je risquais gros. Je lui promis que si elle faisait un strip-tease ça suffirait, les deux types me firent signe que non, alors je lui dis:

- Chérie, fais ça pour moi, je risque de perdre mon boulot et qui sait, peut-être le tribunal et plus. Je te promets que jamais je ne le referai!

Chantal aime faire l'amour. Elle n'est pas spécialement prude, car je sais qu'elle apprécie les regards sur sa poitrine. Elle m'a déjà avoué que plus jeune, elle en était complexée, mais que maintenant elle la met exprès en valeur pour exciter un peu les types que nous croisons dans la rue. Mais jamais nous n'avons connu autre chose que l'amour entre nous. Je sais que je lui demandais beaucoup. Elle me dit:

- Je t'aime, mais tu mériterais que je te laisse à ton sort, c'est la première et dernière fois que tu me fais faire cela. Et puis après tout, ce sera une punition pour toi aussi!

Le gros me murmura alors:

- Dis-lui qu'elle mette des bas, j'adore cela et qu'elle s'habille sexy.

En rouspétant, elle me répondit:

- D'accord, je vais me transformer en pute, et cela à cause de toi. J'espère seulement que tu ne me le reprocheras jamais car là, ce serait vraiment trop! Je vais les exciter, ces types, et j'espère qu'au moins ils tiendront parole!

Je restai une demi-heure avec les vigiles et à leur fin de service, je les emmenai chez moi, inquiet et soulagé à la fois. Chantal nous ouvrit la porte et me murmura avec dégoût:

- Le gros, qu'il est laid!

Apparemment, le deuxième lui convenait mieux. Je remarquai alors qu'elle portait son déshabillé noir et dessous sa nuisette, noire également, qui lui arrivait sous les fesses et elle avait mis dessous des bas coutures et des hauts talons. Elle me dit alors:

- Ça te va ainsi? Je vous fais bander, j'irai plus vite à me déshabiller et vous partirez plus vite!

Je réclamai le papier aux vigiles qui me dirent:

- Tu l'auras après.

Ils mataient Chantal comme des fous. Il s'assirent sur le canapé et moi dans le fauteuil. Chantal leur dit:

- Alors je fais quoi?

Le gros répondit:

- Déshabille-toi pour commencer.

Chantal retira son déshabillé. Sa nuisette ultra courte et transparente ne cachait ni ses gros seins nus, ni son string.
Le gros lui dit de tout retirer sauf les bas. Chantal obéit et se retrouva nue face à nous, son cul rebondi, ses deux gros seins et sa chatte à la fourrure noire abondante, offerts à nos yeux. Je bandais et les deux vigiles aussi. Ils avaient ouvert leur braguette et se branlaient doucement. Leurs bites étaient très grosses, surtout celle du gros. Chantal me dit:

- Branle-toi aussi, chéri, au point où nous en sommes!

J'en avais envie et je le fis. Le gros attira alors Chantal et l'assit entre lui et son ami. Chantal protesta mais à ma demande, se laissa faire. Ils la caressaient sur le corps en s'attardant sur ses seins, ils en suçaient chacun un. Le gros caressa ensuite la chatte de ma femme, le jeune lui caressant les fesses.

Chantal changeait peu à peu d'attitude. Elle semblait y prendre du plaisir. J'étais trop excité pour protester en voyant les deux types ôter leurs pantalons et leurs slips. Leurs queues étaient énormes, j'en étais envieux. Ils s'assirent à nouveau, faisant mettre Chantal à genoux sur le sol face à eux. D'où j'étais, je voyais le cul de Chantal tout rebondi. Il remuait lentement, et je savais qu'elle mouillait à cet instant. Les types lui prirent les mains et y déposèrent leurs queues. Chantal caressa alors ces deux bites. C'était fou, je me branlais, mon cœur cognait! Voir ces deux gros sexes dans ses mains m'excitait.

Le gros lui prit alors la nuque et Chantal se retrouva avec sa bite à l'entrée de sa bouche. Elle ne fit pas d' histoire et la suça en l'enfournant profondément. Chantal sait très bien me sucer, et là, elle se surpassa. La queue, pourtant énorme, du gros, entrait presque entièrement dans sa bouche. Il la tenait par les cheveux et lui disait:

- Vas-y, salope, avale ma bite, suce mes couilles, elle te plaît ma grosse queue?

Chantal était comme folle, car pendant ce temps l'autre type la branlait en lui suçant les seins. Puis il se mit derrière elle. A quatre pattes, elle se laissa manipuler tout en continuant de pomper le gros. Alors le jeune approcha sa longue queue de la chatte de ma femme et, sans ménagements, la pénétra. Elle ne put crier, la queue qu'elle tenait en bouche l'en empêchant, mais elle remuait sa croupe, prenant un vif plaisir à être pénétrée par cette queue qui allait et venait dans son vagin. Pendant ce temps, de ses deux mains il lui malaxait les seins en disant:

- Si tu en as plein la chatte de ma grosse bite, j'en ai plein les mains de tes nichons! Ils sont gros, il a du pot, ton mari! Je suis sûr qu'il se branle souvent dedans, c'est peut-être à force de te les faire peloter qu'ils sont si gros? Tu dois être une drôle de salope!

Leurs propos m'excitaient et apparemment, Chantal aussi. La situation me dépassait et pourtant je n'avais pas envie que ça cesse, au contraire. Le gros dit alors à son collègue:

- Viens te faire sucer par cette salope, j'ai envie de lui mettre ma bite dans le cul, elle doit aimer cela, cette pute. Puis s'adressant à moi: Tu l'encules souvent ta femme? Je vais l'enculer devant toi avec ma grosse bite, quand tu l'enculeras, ça rentrera comme dans du beurre!

II m'arrive parfois de sodomiser Chantal, elle y prend du plaisir, mais devant la taille de sa queue, je pris peur qu'il ne lui fasse mal. Je lui dis:

- Tu es trop gros, tu vas lui faire mal!

Mais ébahi, je vis Chantal se retourner, les cheveux hirsutes, et retirant de sa bouche la queue du jeune qui venait de remplacer l'autre, elle me dit:
- Tu l'as voulu, chéri! Alors laisse le me la mettre dans le cul!

Malgré mon excitation, j'allai dans la salle de bains où je pris un tube de vaseline, dont je me sers lorsque je sodomise Chantal. Le gros n'avait pas encore pénétré Chantal, il lui pelotait à son tour les seins d'une main, et de l'autre lui titillait l'anus. Chantal se trémoussait en gloussant et suçant le jeune. Ce dernier dit alors:

- Je vais te jouir dans la bouche, salope! Avale tout!

Je le vis maintenir Chantal et éjaculer dans sa bouche une énorme quantité de foutre, car elle eut un haut-le-cœur et je vis du sperme couler de ses lèvres. Le jeune se servit de sa queue pour lui en étaler sur la bouche et le visage. Elle en avait plein la figure. Il me dit alors:

- Viens galocher ta salope de femme, si tu veux ton papier!

Je m'avançai alors et sans réfléchir, j'embrassais Chantal qui me donna sa langue, et par la même occasion le sperme qui y restait. Le jeune, nous tenant la tête, nous dit alors:

- Allez, mes salopes, nettoyez ma bite!

Il mit sa queue humide et molle entre mon visage et celui de Chantal. Cela m'excita, et Chantal la reprit dans sa bouche. Puis soudain elle guida cette bite sur ma bouche et me dit:

- Suce le, chéri, vas-y, je veux te voir, ça m'excite!

Je pris cette queue et la suçai, étonné d'y prendre plaisir. On se la partagea avec Chantal et elle devint à nouveau dure. Le gros riait et dit:

- Tu es une salope comme ta femme, mets-lui donc de la vaseline sur le cul que je l'encule, et mets en sur ma queue!

Je mis une noisette de vaseline sur l'œillet de Chantal et une dans ma main, sans me soucier de ses rires, j'en étalai sur sa grosse bite, prenant un plaisir inouï à le branler. Il me repoussa et me dit:

- Arrête, c'est dans le cul de ta femme que je vais jouir!

Je le regardai alors pointer sa queue sur l'œillet de Chantal, et après un léger tâtonnement, il l'encula d'une traite. Elle poussa un cri de douleur, qui devint rapidement du plaisir. Il me dit alors de me branler et de jouir sur Chantal. Je ne me fis pas prier, et je n'eus que le temps de m'approcher de son visage pour exploser, lui balançant à mon tour un flot de sperme au visage. Elle attrapa ce qu'elle put avec sa langue. Le jeune rebandait et me dit:

- Je vais te faire comme à ta femme, suce-moi!

A nouveau, Chantal guida sa queue dans ma bouche. Je l'enfournai alors et le pompai en lui pelotant les couilles. Jamais je n'aurais pensé y prendre plaisir. Il se retira au bout d'un moment et, pointant son dard sur mon visage, éjacula en me balançant son foutre en pleine figure. Il dit à Chantal:
- Salope, lave-le avec ta langue!
Chantal me lécha le visage en avalant le sperme s'y trouvant. Le gros l'enculait, lui donnant des claques sur les fesses. Son cul rougissait mais elle y prenait plaisir. Il se retira et dit à Chantal:
- Suce ma queue sortie de ton trou à merde!
Je le vis alors retirer sa queue du cul de ma femme, pénétrer sa bouche et jouir immédiatement. Il lui dit:
- Avale et suce ta merde!
J'enculai alors Chantal. Le passage était agrandi, mais elle y reprit plaisir et acheva de nettoyer la queue du gros avec sa langue. Soudain, je sentis un doigt titiller mon anus, et le jeune dit:
- Vous êtes deux enculés, ta femme par ta queue, et toi par mon doigt!
Il m'encula avec son doigt et j'y pris plaisir. Ils nous insultaient, mais je jouis alors dans le cul de Chantal qui me la suça à nouveau.
Je m'allongeai alors près de ma femme et l'embrassai. Le gros se leva et, pendant que j'embrassais Chantal, nous pissa dessus en visant nos visages. Sa dernière condition était que nous avalions son urine. Je ne pus le faire, ayant des haut-le-cœur, Chantal en pleine jouissance, accepta, elle ouvrit la bouche et reçut le dernier jet d'urine. Malheureusement, le jeune exigea la même chose, pointa sa queue et pissa dans la bouche de Chantal qui se caressait en criant et en avalant la pisse.
Les types se rhabillèrent, nous jetèrent le papier et partirent. Nous restions étendus, Chantal soudain honteuse, le visage couvert de foutre et de pisse, moi honteux d'avoir sucé une bite. Nous en avons reparlé quelques jours plus tard avec Chantal, sans regret, au contraire, en en riant car Chantal a eu mal au cul pendant quelque temps: jamais elle ne s'était pris un tel calibre dans le fion! Elle m'a avoué qu'elle ne m'en voulait pas du tout, mais elle m'a fait promettre que si je voulais recommencer à chaparder dans un magasin je le fasse obligatoirement dans le même car ainsi nous serions surs que je ne risque pas d'aller chez les flics. Elle avait un sourire égrillard en disant ça et j'ai bien sur promis.

Je pense que d'ici quelques semaines, le démon de la cleptomanie va me reprendre..!!!!
Par abcd-wxyz - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 14:47

Ma femme est une vraie concée du sexe, elle me refuse la sodomie, veut bien me sucer mais pas à fond.

J'en parlais à un ami, qui me dis que je devais la punir.

Un jour que nous voyagions en train avec mon épouse Nicky, je vis un compartiment ou il y avait 4 militaires et j'entrais avec Nicky. Je la fis asseoir entre deux et je me mis en face entre les 2 autres.

Mon épouse était surprise et tracassée. Nicky avait une jupe courte et d'en face on voyait son string.

Le gars de droite, Philippe, mis sa main sur les cuisses de ma femme.

Mon épouse me regarda, du regard elle me demanda ce qu'il fallait faire.

Comme je ne disais rien la main du militaire remonta sous la jupe et caressa son sexe sous le string.

Celui de gauche avait la main sous le tee shirt et lui pelotait les seins.

Ma femme n'avait pas de soutien gorge.

Il roulait les tétons entre ses doigts pour les faire saillir au maximum.

Nicky résistait mais les 2 militaires tout en la pelotant l'avait bien bloquée sur le siège.

Ma femme résistait mais les caresses prodigués par les 2 mâles provoquèrent chez elle un premier orgasme.

Philippe avait les doigts trempés par les sécrétions abondantes de la moule qu'il astiquait, c'est alors

qu'il saisit sa culotte et la lui arracha littéralement, voyant cela, celui qui lui caressait les seins,

Daniel, releva le tee-shirt et le fit glisser par-dessus la tête de Nicky, la scène était d'un érotisme torride

et les deux militaires assis face à ma femme commencèrent à la caresser eux aussi.

"Non, non, Tom aide-moi" me demanda Nicky.

Je me levais et …. fermais le verrou de la porte du compartiment.

Nicky du embrasser à tour de rôle sur la bouche les gars à côté d'elle tandis que quatre paires de mains parcouraient son corps, sa moule ses cuisses son ventre ses seins, ses longs cheveux, son clitoris.

Le militaire assis en face de ma femme, Cédric, se leva abaissa son pantalon et son slip, il s'accroupit et présenta son membre à l'entrée de la chatte juteuse.

Il appuya et s'enfonça lentement dans les profondeurs humides.

Nicky gémit et pour faciliter la pénétration il fit glisser les fesses de Nicky sur la banquette en remontant ses jambes vers le haut. Alors dans un bel ensemble les trois autres se déshabillèrent.

Ils étaient de physique différent maigres ou bedonnant, musclés ou chétifs mais ils avaient tous en commun une trique à effrayer les pucelles et à faire pêcher les plus vertueuses.

Ma femme du prendre dans sa bouche le zob de Marc, c'était le plus près de son visage, pendant qu'elle se faisait tringler.

Elle avait à peine pompé trois fois le sexe rigide qu'il explosa dans sa bouche à long jets chauds et onctueux. Nicky avait du mal à avaler tout ce foutre venant d'un homme dans la force de l'âge et ayant

fait abstinence pendant six mois. Presque en même temps Cédric éjacula dans sa chatte sans retenue.

Les deux garçons cédèrent aussitôt leur place à leur compagnons en les encourageant:

"Allez y elle bonne elle a une chatte divine elle m'a fait jouir tout de suite"

Marc n'avait certainement pas pu apprécier tout le talent de pipeuse de mon épouse vu la vitesse avec laquelle il avait joui.

Un deuxième membre s'enfonça donc dans la fente avec un bruit de gargouillis tandis que la bouche de ma femme accueillait une nouvelle queue. Les deux garçons étaient si excités qu'ils jouirent instantanément. Philippe dans sa chatte et Daniel dans sa bouche. Cette fois Nicky ne put avaler tout ce sperme qui se mit à couler lentement sur son menton, le long de son cou et jusqu'à ses seins. En même temps du foutre s'écoulait de sa chatte mouillant la banquette du compartiment.

Plusieurs gars regardaient par la fenêtre du compartiment. J'ouvris le verrou et fis entrer 2 blacks.

Marc continua à s'occuper de ma dulcinée. Malgré le fait qu'il avait jouis il y a 5 minutes à peine, ses couilles étaient encore bien remplies.

Il lui avait enlevé sa jupe et fait mettre à quatre pattes sur la banquette. Il écarta les deux globes puis commença à lui passer la langue sur la rondelle, en la mouillant abondamment et en enfonçant la pointe.

Ensuite il lui massa l'anus avec le pouce.

"Non pas le cul, pas le cul" disait ma femme.

Sa pastille s'assoupli c'est alors que le militaire lui mis l'index dans le cul, et à le remuer avec un mouvement rotatif.

L'anneau de Nicky se dilatait et il enfonça mon majeur, Nicky se plaignait toujours.

Il plongea sa bite dans sa chatte pour la lubrifier avec ses sécrétions, ensuite il posa son gland sur le petit orifice et de tout son poids il appuya.

Malgré le fait que Nicky fut bien préparée, elle gueula tellement elle avait mal.

"Mais putain, elle est vierge" cria le militaire.

Après 10 minutes Marc arriva à ses fins, il avait remplis le cul de ma femme d'un foutre épais et se retirait un air béat sur le visage

C'est alors que le premier black se mit derrière Nicky. Il enjamba le corps de Nicky et présentant sa queue sur le petit orifice, il l'enfonça dans le cul déjà ouvert.

Comme un piston dans une pompe chasse l'air, la queue du black fit ressortir du cul le foutre déposé par Marc. Pendant qu'il l'enculait, le deuxième black, Ali, mis sa bite dans la gueule de mon épouse pour la mettre en condition. Je n'en revenais pas, elle était énorme, au moins 1 fois et demi celle des précédents.

Malgré la bite du black qui lui emplissait la bouche, Nicky laissait échapper des grognements et soupirs qui nous en disaient long sur la douleur de cette deuxième sodomisation.

"Putain elle me serre trop je jouis, elle en prend plein le cul, oui.. oui … oui "

Il céda la place à Ali.

"Regardez les mecs je vais l'enculer je suis sûr qu'elle aimera!" dit Ali en montrant sa bite en érection

elle dépassait facilement les 35 cms.

Nicky est jolie mais petite, 1m55 pour 48 kilos. En regardant Ali qui mesurait 1m90 pour 110 kilos

je me dis en moi même il va la casser, je ne savais pas quoi faire car j'avais peur pour Nicky.

Comment arrêter tous ses mecs en chaleur ?

Nicky regardait la bite d'Ali, son visage était horrifié. "Non, pitié" dit 'elle.

"Je vais te l'ouvrir ta rondelle, tu n'en as jamais eu une aussi grosse dans le cul" lui dit Ali.

Je regardais fasciné la bite énorme d'Ali appuyer sur la rondelle de mon épouse et la dilater lentement tandis qu'elle haletait.

L'anneau s'élargissait progressivement et subitement le pieu s'enfonça dans l'anus de mon épouse.

Mon épouse gueulait de douleur. Les militaires observaient la scène se demandant si Ali allait déchirer le trou du cul de mon épouse. Il l'encula à fond. "Arrête, arrête j'en peu plus " criait Nicky

Mais Ali continuait à pilonner son cul. La troisième sodomisation d'Ali fut la plus brutale.

Quand Ali sortit sa bite je regardais l'anus de Nicky.

Le cul de Nicky s'était transformé en un cercle bien rond beaucoup plus grand que de la taille d'une pièce de 2 Euros.

Philippe la pris aussi à quatre pattes comme une chienne. Lui aussi l'encula brutalement mais Nicky se plaignait déjà moins.

Il ne restait plus que Cedric et Daniel qui n'avait pas enculé ma femme.

Cédric, un jeunot de 18 ans s'installa confortablement sur le siège et saisit ma femme par les hanches:

"Viens ici ma poule je n'ai pas fini avec toi"

Il souleva ma femme et l'installa sur ses genoux, la bite dans le cul.

Le jeunot avait saisi les hanches de mon épouse et s'activait vigoureusement dans l'anus lui arrachant des feulement de plaisir.

Marc, malgré ses 2 orgasmes, voulait rattraper ses six mois d'abstinence, son désir exacerbé par la scène, il contourna Nicky et lui enfonça sa queue dans la bouche en lui saisissant les seins à pleines mains.

Elle ne le suçait pas elle se faisait baiser la bouche. Marc violemment lui pistonnait la bouche essayant de s'enfoncer le plus profondément possible et Nicky faillit s'étouffer quand tout au fond de sa gorge Marc balança sa crème, heureusement il se retira aussitôt ce qui permit à Nicky de reprendre souffle et d'avaler les fruits du plaisir qu'elle avait déclenché.

Pendant ce temps Cédric continuait à s'activer sur l'anus de ma femme et Daniel qui voulait lui aussi enculé Nicky s'était levé et parlait au jeunot : " Dépêche toi, je veux lui mettre dans le cul moi aussi vas y, vas y". Le garçon poussa un grand cri en donnant encore deux ou trois coups de boutoir, et se retira:

"Quel pied, quel pied je n'avais jamais imaginé que c'était si bon d'enculer une femme, elle est tellement belle." Daniel lui, avait immédiatement remplacé son camarade et ramonait à son tour le cul grand ouvert.

Il éjacula à son tour et se retira, en se retirant il poussa ma femme de la banquette qui se retrouva par terre.

Nicky épuisée ne se releva pas tout de suite.

Les 6 hommes avaient enculés ma femme, Marc 2 fois et Daniel une fois c'était fait sucer à fond.

Tandis que Philippe et Cédric en plus de la sodomie l'avaient également baisée.

Nicky à elle seule avait provoqué 11 orgasmes chez les hommes et ce n'était pas finit.

Pendant que les militaires se rhabillèrent, Nicky voulut ramasser ses vêtements mais Ali et Sambegou n'avaient pas fini.

Sambegou qui frôlait les 2 m la souleva comme une plume.

Il la déposa sur la banquette, il la mit sur le dos, lui écarta les jambes et tout en l'enculant il lui dit ;

"va y caresse toi".

Et Nicky se caressa. Sambegou était incroyable, il avait à peine fini de jouir dans le cul de Nicky qu'il la retourna et la pris en levrette pendant qu'elle suçait Ali. Ali ne se contrôlait plus, sa queue s'enfonçait jusqu'à ce que ses couilles butent sur le menton de ma femme, son coup de reins était si violent que sa queue sortait de la bouche et se frottait contre les joues de ma femme qui bouche grande ouverte essayait de l'avaler à nouveau. Il sortit une fois de trop, et sa semence chaude se répandit sur le visage et dans les cheveux de Nicky. Sambegou, lui, continuait à la pilonner avec entrain, son sexe frottait violemment contre le clitoris de mon épouse ce qui provoqua chez elle un orgasme qui dura jusqu'à ce que le mâle dans une dernière poussée lui balance le liquide séminal. Ils se relayèrent pendant près de 2 heures. Tous les trous de Nicky étaient visités plusieurs fois.

Ils lui donnèrent 7 ou 8 orgasmes chacun avant d'avoir marre de Nicky et alors ils quittèrent le compartiment.

Je me retrouvais seul avec Nicky. Elle était nue, son string et son tee shirt avaient disparu, sûrement emporté comme trophée par un des gars. Et cela puait le sperme dans le compartiment.

Par abcd-wxyz - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 12:17
J'ai eu un excellent contact hier soir avec une "postulante"...

Mariée, mais délaissée...
Novice en soumission...
Une quarantaine à peine entamée mais pleine de désirs... d'envie... de sensualité...

Je vous raconterai au fur et à mesure...

Quand je lui ai dit que je lui donnerai comme nom de soumise "Amarylia" elle a été contente,
"Joli nom que voilà, il me rapelle ma grand-mère qui s'appelait Amalya"  m'a-t-elle dit.

Voilà...

la suite bientôt !

Monsieur
Par abcd-wxyz - Publié dans : Amarylia
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 12:07
quai-de-gare.jpg
Par abcd-wxyz - Publié dans : Monsieur
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 00:16
Comme on dit "le roi est mort, vive le roi, un nouveau roi est appelé à régner, alors je dis
Amarylia est morte, une nouvelle chienne est appelée à se soumettre.

je vous raconterai la progression de cette nouvelle chienne.

Monsieur



PS : le commentaire de Fanny me paraît suspect.... il ressemble trop à un style épistolaire que je connais très bien...
Disons que c'est une tentative puérile...
Il ne faut pas prendre les maîtres pour des imbéciles.
Par XYZ - Publié dans : Monsieur
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