Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 14:59

Voilà un récit que vient de m'envoyer la nouvelle Amarylia
ça promet pour la suite :

  

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Ballade en vélo !

Depuis l'épisode de la piscine et de la plage, Jérôme et Roselyne étaient devenus de très bons amis. C'était notre troisième sortie et nous avions décidé de faire une ballade en vélo, ou plutôt en VTT. C'était toujours en plein été, il faisait chaud, nous étions tous en vacances et voulions en profiter au maximum.

Pour cette occasion, j'ai mis une de mes tenues préférées : Un T-shirt très court que j'ai coupé afin qu'il m'arrive juste sous les seins, une mini-jupette très légère, celle du tennis, et évidemment, comme à mon habitude, rien d'autre dessous.

J'adore la sensation de la selle sur mes fesses nues. Son frottement sur mon sexe m'excite. C'est vraiment très fort. Depuis l'épisode de la piscine il y a quelques semaines, je découvre tous les jours de nouvelles sensations érotiques à me promener sans sous-vêtements. C'est une vrai drogue. Je ne peux plus m'en passer.

J'étais en avance et j'ai pris mon temps pour arriver jusque chez mes amis. J'étais à la sortie de ma petite ville et je roulais doucement pour ne pas provoquer une émeute si des gens voyaient mes fesses à l'air. Mais, il n'y avait pas grand monde sur ce trajet. Heureusement, car même avec ma faible vitesse, ma jupette remontait sur mes cuisses et j'apercevais ma fine toison par devant. J'avais beau baisser ma jupe, elle remontait toujours. Mais les passants ou les voitures que je croisais n'avaient qu'un aperçu très fugitif. Pourtant quelques coups de klaxon me laissaient deviner qu'ils appréciaient la vue.

N'ayant pas été autrement importunée, quelques minutes plus tard, j'arrivais chez mes nouveaux amis, la vulve déjà trempée par le frottement de la selle. Je sonnais et Jérôme vint m'ouvrir à poil. J'étais un peu en avance et ils se préparaient. Pour me dire bonjour, il m'embrassa directement sur la bouche et nos langues se mêlèrent. Puis il introduisit un doigt dans ma fente. Déjà ? Çà commençait bien. Roselyne arriva, nue elle aussi. Elle m'embrassa à pleine bouche. Décidément, mes amis étaient vraiment très chauds. Mais cette fois c'est moi qui pris les devants et je lui caressai la vulve. Geste qu'elle me rendit aussitôt pour me dire :

Tu n'as rien mis ?

Tu sais bien que je ne mets plus jamais rien sous mes jupes depuis la piscine.

Oui, mais même en vélo ? Avec une jupe aussi courte, on va voir tes fesses.

J'y compte bien ! Mais là où nous allons, c'est désert. Et j'adore sentir la selle. Alors ? Vous êtes prêt ?

Oui, on s'habille et on arrive.

Jérôme attrapa un short qu'il enfila directement sans slip et il resta torse nu. Roselyne revint de sa chambre pratiquement dans la même tenue que moi, un petit haut jaune très court attaché par un seul nœud qui laissait apercevoir le galbe parfait de ses seins et une mini-jupette semblable à la mienne. Elle la souleva pour me montrer qu'elle n'avait rien mis dessous. 

Nous sommes partis et je suis passée devant pour leur montrer la route. Il y avait toujours aussi peu de monde dans ces rues, mais encore quelques coups de klaxon. Nous avons vite atteint une petite départementale toujours déserte.

Roselyne monta à ma hauteur, laissant Jérôme derrière qui devait en profiter pour nous observer.

Alors ? Çà fait comment de derrière ? Lui dis-je.

C'est super. Jérôme n'en rate pas une miette. On voit tes seins par en dessous. C'est génial.

Ah oui ? Et toi alors ! Avec la vitesse, ton petit haut flotte au vent et on voit entièrement tes seins. C'est super beau. Attends je vais voir de derrière.

Et je me laissais glisser en arrière. A quelques mètres derrière elle, je voyais la rondeur de ses seins sous son petit chemisier court complètement remonté et sa jupette voler au gré du vent et de la vitesse. C'était vraiment excitant. J'admirais ses jambes musclées, ses fesses bien fermes et sa silhouette de rêve. Pleine d'admiration, j'attendais maintenant qu'une rafale bien placée soulève sa jupe un peu plus qu'il ne fallait. Mon attente fut brève. Car ayant repris un peu de vitesse, la jupette volait maintenant derrière elle découvrant un peu plus ses fesses. Mais on aurait pu croire qu'elle portait un string car j'apercevais un très joli petit cul fendu qui se trémoussait sur la selle au rythme de ses coups de pédales. C'était un très joli spectacle et je commençais à mouiller sérieusement. Quelquefois, j'apercevais toute la profondeur de sa raie des fesses et j'imaginais son petit trou au bord de la selle. Elle se masturbait visiblement sur son siège et ça me rendait folle d'excitation.
Eh ! Les filles, vous allez me faire jouir dans mon short. Vous êtes craquantes !

Jérôme n'en pouvait visiblement plus de nous observer par derrière. C'est vrai que le spectacle valait le déplacement. On arrivait à une côte et, impatient de voir ce qu'elle allait faire, je suis restée derrière elle. Elle se mit en danseuse avec une parfaite maîtrise et grimpa facilement la montée. Le spectacle de son joli cul partiellement dévoilé à chaque coup de pédale et se dandinant de gauche à droite dans l'effort me porta au summum du désir. Quelle allumeuse ! En danseuse, je voyais tout, son cul, sa chatte, la naissance de sa touffe autour de celle-ci. Je n'en pouvais plus. Ma jouissance n'était pas loin. Obligée de prendre la même position pour monter cette côte, j'imaginais Jérôme devant se contrôler pour ne pas jouir dans son short. Je me dandinais au maximum pour l'exciter encore plus. J'aurais bien voulu que çà lui arrive.

 

En haut de la côte, elle se rassit et comme elle semblait s'amuser à ce qu'on la suive, je suis remontée à sa hauteur et je lui ai fait signe du pouce de l'admiration que j'avais pour elle. Ce qui la fit sourire. Ses seins étaient toujours entièrement visibles sous son chemisier remonté. D'ici, sa jupette remontait sur son ventre et j'apercevais le haut de sa touffe. De face le spectacle devait être aussi surprenant quoique très fugitif. Alors, je suis passée devant et je l'ai regardée en me retournant. Je pouvais voir sa touffe bien dégagée rythmée par ses coups de pédale. Avec son décolleté flottant au vent  j'apercevais deux seins magnifiques qui ballottaient lentement. Mon jus mouillait entièrement ma selle. En la touchant, je sentis que des gouttes tombaient par terre. J'étais une vrai fontaine. Je suis revenu à sa hauteur.

J'ai entièrement mouillé ma selle. Çà dégouline par terre.

Moi aussi, tiens, sens.

Elle mis sa main sur sa selle et me fis sentir ses doigts. Ils étaient trempés et sentaient fort l'odeur de sueur et de cyprine. Je lui pris la main et mis ses doigts dans ma bouche pour les nettoyer. J'aime ce goût. Puis j'en fis autant pour elle. Soudain, une idée germa dans mon esprit.

Tu sais ce que j'aimerais ?

Non.

Avoir un gode attaché sur ma selle pour me l'enfoncer à chaque coup de pédale.

Alors, toi, t'es une vrai vicieuse. Mais tu as raison, bon sang que çà doit être bon ! Eh ! Jérôme. Arrive un peu par ici.
 

Et Jérôme remonta à notre niveau. Son short était déformé par une énorme bosse qui ne demandait qu'à s'échapper.

Tu devrais le laisser dépasser par la braguette, lui-dis-je. Sinon, il va exploser.

Et tout le monde de rire. Mais aussitôt dit, aussitôt fait. Son énorme pieu décalotté et tout violacé à force de frotter dans son short pointa son nez dehors.

Il nous indique la route ?

Oui, c'est par là.

Tu sais ce que Sylvie aimerait ?

Non.

Greffer un gode sur sa selle. Tu crois que c'est possible ?

Hein ? Oh oui sans doute. J'en ai toujours un dans ma sacoche. On peut essayer.

Nous nous arrêtâmes aussitôt sur le bord de la route. Jérôme, toujours son sexe bandé dehors, entreprit de chercher dans la sacoche de son vélo. Il en sorti un gode et de la ficelle. Puis il s'appliqua à le fixer sur ma selle. J'avais peur que la ficelle me fasse mal. Mais en fait, il l'a faite passer par les trous de la selle. Cela devrait aller. Mon vélo avait vraiment une drôle d'allure.

Oh super ! Mais comment te remercier ?

Devine....

Alors j'ai pris sa bite dans ma bouche et je l'ai pompée. J'étais trop excitée. Je voulais boire son jus. Je n'ai attendu que quelques secondes. Il a aussitôt giclé en moi en poussant un long râle profond. Il était vraiment au bord de la jouissance. J'en avait plein la bouche et çà débordait. Je ne pouvais pas tout avaler tellement il y en avait. Roselyne m'a poussée pour en profiter aussi et nettoyer son homme. Puis elle vint me lécher le visage pour récupérer le trop-plein qui me coulait sur le menton. On s'est embrassée et je lui ai refilé le surplus que j'avais encore dans la bouche.

Oh ce que c'est bon. J'adore çà, me dit-elle. Je pourrais en boire un plein verre.

Monte sur ton vélo, que je vois ce que çà te fais, me dit Jérôme.

Alors, je suis montée sur ma selle et je me suis enfoncée délicatement sur le gode. Empalée à fond dessus, j'avais la chatte pleine. Quel bonheur !

Çà te fait mal ?

Non, pas du tout. Au contraire, je me sens pleine, c'est super. Il est bien au fond. Ah !

Quoi ?

Non, rien. C'est trop bon.

J'ai hâte d'essayer moi aussi, me dit Roselyne. T'en n'as pas un autre ?

Non, désolé. Je ne suis pas un supermarché.

Oh oui, oh ! C'est trop bon ! Allez, on repart. Je veux voir ce que çà fait en roulant.

Doucement, j'ai commencé à rouler. Tout allait bien. Je ne sentais pas la ficelle, seulement le gode au fond de moi qui me lançait des ondes de plaisir à chaque coup de pédale. Roselyne m'a doublée sans peine, je n'allais pas vite tellement c'était bon. Entre deux râles de plaisir, j'ai remarqué qu'elle était nue sur son vélo. Ses minces vêtements avaient atterri dans la sacoche de Jérôme. D'ailleurs, à nous voir ainsi, sa bite recommençait à durcir hors de sa braguette et elle nous indiquait encore la route. Ils étaient tous les deux de chaque côté de moi et m'observaient avec attention et envie. Mais plus que les coups de pédale, c'étaient les cahots de la route qui me faisaient le plus de plaisir. Cela faisait cinq minutes que j'avais le gode en moi et je n'en pouvais plus de plaisir. Et d'un seul coup, j'ai explosé. J'ai crié comme une folle. J'avais orgasme sur orgasme.  Quand çà s'est calmé, j'ai sentis des bras de chaque côté qui me soutenaient. J'étais toujours sur le vélo avec le gode en moi. Mais mes amis m'empêchaient de tomber. J'étais à moitié consciente. Après quelques secondes, j'ai pu descendre de vélo et m'affaler sur le sol. Ma selle dégoulinait.

Dès que j'ai lâché le vélo, Roselyne s'en est emparée. Elle était impatiente de vivre cette expérience. Mais elle attendait patiemment que je revienne à moi. Finalement, je me suis relevée et avec son mari, je l'ai aidée à monter sur le vélo. Elle s'est empalée doucement sur le membre de plastique en criant que c'était bon. Puis, elle est partie en pédalant de travers et en prenant toute la route. J'avais peur qu'elle tombe. Elle était assise sur la selle, le gode bien enfoncé en elle. Elle poussait de petits cris à chaque coup de pédale et encore d'autres plus forts sur chaque cahot. Qu'elle était belle toute nue sur mon vélo en train de prendre son pied ! Avec Jérôme, nous sommes partis à sa poursuite pour l'aider au moment crucial. Elle criait maintenant sans arrêt et elle avait du mal à garder sa route. Puis soudain, elle eut un cri plus fort que les autres. Elle jouissait là, sur la route en continuant à pédaler. Elle maîtrisait comme elle pouvait son vélo et elle jouissait à n'en plus finir. Elle a bien fait cent mètres en jouissant. Puis, je l'ai vue se soulever et sortir du gode pour se rasseoir aussitôt plus doucement et avec difficulté.  Et en poussant un cri perçant, elle s'empala de tout son poids sur le gode. Elle roulait sur le bas côté de la route, là où il y a le plus de cahots. Elle n'arrêtait pas de pousser des cris de plaisir. Soudain, elle bifurqua à droite dans un chemin qui descendait légèrement dans la forêt. Elle ne pédalait plus, la pente se chargeant de faire avancer le vélo. Les énormes cahots du chemin la faisait sauter sur sa selle. De temps en temps j'apercevais le bas du gode qui sortait de son trou. Revenue juste derrière elle, je m'aperçue qu'elle avait le gode dans le cul. Elle jouissait à n'en plus finir. J'avais peur qu'elle tombe et se fasse mal. Sur ce chemin, impossible de l'aider. Puis, soudain, elle fit un écart et tomba sur le côté dans une zone sableuse. Ne sentant pas la douleur, elle continuait de jouir à terre, toujours empalée sur son gode qui n'était pas ressorti. Nous nous arrêtâmes et Jérôme déplaça délicatement le vélo pendant que je la soutenais pour qu'elle ne se blesse pas. En se retirant, le gode fit un "Plop" plutôt amusant.

Sa cuisse droite était un peu râpée, mais rien de grave. Alors, Jérôme quitta son short et se jeta sur elle. Il l'allongea sur le ventre et entreprit de remplacer le gode. Il l'encula sans ménagement. Reprenant ses esprits, tout en poussant des cris de plaisir, Roselyne parvint à se mettre sur ses genoux en levrette. Elle me demanda de venir la lécher. Me mettant nue moi aussi, je me glissai sous elle et entrepris de lui lécher le minou. Il coulait abondamment et son jus était délicieux. Je me mis à me caresser en même temps le clito. Puis, je sentis la langue de Roselyne venir remplacer mes doigts. Elle poussait des cris étouffés par mon sexe. Au dessus de moi, je voyais la bite de Jérôme aller et venir de plus en plus vite dans son anus. Soudain, il s'arrêta et poussa un cri rauque tandis qu'il était secoué de spasmes. Je vis son membre vibrer du jus qui coulait dedans. Puis ce fût au tour de Roselyne de me délaisser pour crier son plaisir et sa jouissance. Elle était prise de convulsions anarchiques et n'en finissait plus de jouir. Je n'arrivais plus à la lécher et le membre de Jérôme fut soudain expulsé de son antre. Son jus coulait sur mon visage et je m'empressai de le boire. Puis, ce fut au tour du trou de balle béant de Roselyne de laisser échapper le précieux liquide que je me suis empressée de recueillir. Il avait un goût plus fade dû à son séjour dans ce trou secret. J'ai tout avalé jusqu'à la dernière goutte et j'ai même fait pénétrer ma langue dans le trou dilaté qui commençait à se refermer.

Soudain, j'ai senti une langue sur mon sexe. C'était Jérôme qui avait fait le tour et qui venait me lécher le minou. Une onde de plaisir me traversa et je commençais à repartir. La bouche de Roselyne remplaça celle de son mari et il m'amena sa bite molle à hauteur de ma bouche. Je l'ai sucée pour le faire rebander. Je voulais son sexe dur dans ma chatte. Celui-ci ne tarda pas à reprendre de la vigueur.

Viens ! Je veux ta bite en moi. Viens ! Mets la moi. Je la veux.

Il ne se fit pas prier et sa bite vint remplacer la bouche de sa femme. Oh que c'était bon. Il l'enfonça tout au fond et commença à me limer pendant que Roselyne me suçait les tétons. Elle remonta jusqu'à ma bouche et nos langues se mêlèrent dans un long et profond baiser qui me fit chavirer. Je me suis mise à pousser des cris étouffés par la bouche de Roselyne. Je jouissais comme une folle. Je sentis le liquide chaud de Jérôme gicler en moi. Roselyne m'embrassait toujours.

Quand je revins à moi, Roselyne était assise dans le sable et nettoyait avec sa langue la bite molle de Jérôme. Elle n'en perdait vraiment pas une miette.

 Nous sommes restés tout l'après-midi dans ce bois à faire de nouveau l'amour, puis nous sommes rentrés en nous promettant de recommencer très vite.

 Par Sylvie (Amarylia)
 
 
 

Par abcd-wxyz - Publié dans : Histoires de sexe
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